Les tengwar sont un système d'écriture créé par l'écrivain et philologue J. R. R. Tolkien. Le terme tengwar est un pluriel (« lettres ») en quenya, langue imaginée par Tolkien ; au singulier tengwa (« une lettre »). En sindarin, autre langue construite inventée par Tolkien, ces lettres sont des tîw (au singulier têw). Dans les œuvres de Tolkien, les tengwar furent inventés par Fëanor, qui se serait inspiré des sarati de son prédécesseur Rúmil. Ils furent utilisés pour transcrire différentes langues de la Terre du Milieu.
Tolkien conçut probablement les tengwar entre la fin des années 1920 et le début des années 1930. Une brève inscription en tengwar figure sur l'une des illustrations qu'il effectua pour son roman Bilbo le Hobbit, paru en 1937. Mais c'est surtout Le Seigneur des anneaux, publié en 1954-1955 (pour la première édition), qui fait connaître cette forme d'écriture cursive. Les tengwar sont utilisés dans la représentation du poème (en noir parler) qui figure sur l'Anneau unique forgé par Sauron et pour les inscriptions (en langue sindarine) qui courent sur le fronton des portes de Durin au seuil de la Moria. Une description détaillée du système est incluse dans l'appendice E du Seigneur des Anneaux. Les pages de garde du Seigneur des Anneaux comprennent également un court texte anglais transcrit en tengwar et en cirth, un autre alphabet inventé par Tolkien, sur des bandeaux en haut et en bas de la page. Cette idée a été reprise par Christopher Tolkien, qui a inclus de tels bandeaux, avec à chaque fois un texte approprié mais uniquement en tengwar, sur les pages de garde du Silmarillion, des Contes et légendes inachevés et des douze volumes de l'Histoire de la Terre du Milieu.
thumb|300px|Inscription de l'Anneau unique, écrit en noir parler du Mordor en utilisant le Tengwar.
S'écrit de gauche à droite ou de droite à gauche en fonction de la main avec laquelle on écrit de façon à ne pas couvrir le texte, en lignes horizontales.
Les tengwar s'écrivent selon plusieurs modes.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Le 'sindarin' ou gris-elfique est une des langues construites imaginées par le romancier et philologue dans le cadre de l'élaboration des récits de la Terre du Milieu. Il en commença la construction vers 1917 sous une forme alors appelée gnomique, et ne cessa ensuite au cours de sa vie d'en faire évoluer les conceptions, tant dans ses caractéristiques proprement linguistiques que dans sa place dans la narration.
thumb|L'œil de Sauron, emblème du Mordor. thumb|Autre représentation Le Mordor (« pays noir » en sindarin) est une région de la Terre du Milieu, univers de fiction créé par , surtout décrit dans Le Silmarillion et dans Le Seigneur des anneaux, dont il occupe la moitié du livre VI. Dans ce troisième tome du Seigneur des anneaux, Le Retour du roi, Frodon et Sam doivent en traverser les étendues arides pour accomplir leur mission : détruire l'Anneau unique en le jetant dans les flammes de l'Orodruin, le volcan qui domine le nord-ouest du Mordor.
Le quenya (prononcé ) ou haut-elfique est une des langues construites imaginées par le romancier et philologue dans le cadre de l'élaboration des récits de la Terre du Milieu. Sa création remonte au plus tard à l'année 1915. Le vocabulaire et la grammaire de cette langue ont progressivement évolué durant la vie de leur auteur, jusqu'à atteindre une relative stabilité après la publication de son roman Le Seigneur des anneaux en 1954-1955. Tolkien s'est principalement inspiré du finnois pour l'élaboration de la langue, ainsi que du latin et du grec.
Marcus amava contemplare le parole e operare con le immagini. Sapeva trattare delle cose universali, sapeva poi dividerle nei particolari. Con certa e meravigliosa ragione, aveva fatto discorso del frutto della passione. Ut pictura Poiesis.