VayeraVayera (וירא – Héb. "Et Il apparut", premier mot de la parasha) est la quatrième section hebdomadaire du cycle annuel de lecture de la Torah selon le judaïsme. Elle se compose de Genèse 18:1–22:24. Les Juifs de la Diaspora le lisent le quatrième Shabbat suivant Sim'hat Torah, généralement en octobre ou en novembre. Résumé du Livre de la Genèse Dieu apparaît à Abraham, fraîchement circoncis. Il accueille trois hommes, en réalité trois anges, dont l'un pour lui annoncer la naissance de son fils Isaac et deux pour détruire les villes voisines de Sodome et Gomorrhe.
Noa'h (parasha)Noa'h (נח – Héb. "il consolera" - francisé en Noé) est le troisième mot (èlè toldot No'ah "voici les générations de Noé") et premier mot distinctif de la parasha et la seconde parasha (section hebdomadaire) du cycle annuel de lecture de la Torah. Elle correspond à Genèse 6:9-11:32. Les Juifs de la Diaspora la lisent lors du second Shabbat après Sim'hat Torah, généralement en octobre ou en novembre.
MiketzMiketz ou Mikeitz (מקץ – Héb. pour "au terme de," le second mot de la parasha—et premier significatif de la parasha) est la dixième parasha (section hebdomadaire) du cycle annuel juif de lecture de la Torah. Elle est constituée de Genèse 41:1–44:17.. Les Juifs de la Diaspora la lisent le dixième Shabbat après Sim'hat Torah, généralement en décembre, lors du Shabbat de 'Hanoucca. Lorsque Hanoucca contient deux Shabbat (comme c'est le cas en 2006 et en 2009), on lit généralement, mais pas toujours, Miketz le second Shabbat après 'Hanoucca.
HaftarahLa haftarah (en hébreu : הפטרה - haftara ou haftarot au pluriel) est un texte issu des livres de Neviim (les Prophètes), lu publiquement à la synagogue après la lecture de la parasha, lors du chabbat ou des jours de fêtes juives. Le texte institué pour chaque occasion a un thème en rapport avec la parasha correspondante. Des bénédictions sont lues avant et après la lecture chantée de la Haftarah par un membre du miniane. On lisait la haftarah au moins dès environ l'an 70, quoique peut-être pas obligatoirement, ni dans toutes les communautés, ni à chaque chabbat.