Absence of goodThe absence of good (privatio boni), also known as the privation theory of evil, is a theological and philosophical doctrine that evil, unlike good, is insubstantial, so that thinking of it as an entity is misleading. Instead, evil is rather the absence, or lack ("privation"), of good. This also means that everything that exists is good, insofar as it exists; and is also sometimes stated as that evil ought to be regarded as nothing, or as something non-existent.
Théodicéethumb|Le terme « théodicée » a été introduit par le philosophe et savant polymathe allemand Gottfried Wilhelm Leibniz dans ses Essais de Théodicée. Une théodicée (du grec Θεοũ δίκη, « justice de Dieu ») est une explication de l'apparente contradiction entre l'existence du mal et deux caractéristiques propres à Dieu : sa toute-puissance et sa bonté. Une théodicée est un discours théologique qui cherche à expliquer qu'une divinité permette l'existence du mal. Selon Alain Finkielkraut, la théodicée est synonyme de .
Pélagianismevignette|224x224px|Pélage. Le pélagianisme est une doctrine développée à partir de la deuxième moitié du par l'ascète breton Pélage, Célestius, Julien d'Éclane et leurs disciples, caractérisée par l'insistance sur le libre arbitre de l'homme. Le pélagianisme, professant que la liberté règle les rapports entre l'homme et Dieu, s'attire l'opposition de l'épiscopat africain marqué par l'idée de la grâce d'Augustin d'Hippone, qui obtient la condamnation de ce courant par l’empereur Honorius, puis par le de Carthage en 418, avec l'approbation du pape Zosime.
Livre de JobLe Livre de Job (איוב Iyov) est l'un des Livres du Tanakh et de l'Ancien Testament. Poème didactique écrit en prose, on considère généralement qu'il porte sur le problème du Mal. Les nombreuses interprétations du Livre sont des tentatives classiques pour réconcilier la coexistence du mal et de Dieu (pour laquelle Leibniz a forgé le terme de théodicée). Mais l'intention originale du Livre de Job apparaît comme assez ambiguë : tantôt invocation à la droiture, tantôt perspective cynique de cette idée ou, selon quelques érudits, satire contre un maintien « puritain » de la religion.