Independence-friendly logicIndependence-friendly logic (IF logic; proposed by Jaakko Hintikka and Gabriel Sandu in 1989) is an extension of classical first-order logic (FOL) by means of slashed quantifiers of the form and , where is a finite set of variables. The intended reading of is "there is a which is functionally independent from the variables in ". IF logic allows one to express more general patterns of dependence between variables than those which are implicit in first-order logic.
Théorème de FaginLe théorème de Fagin est un résultat de théorie de la complexité des algorithmes, montrant l'égalité de la classe NP et de la classe des problèmes exprimables en logique du second ordre existentielle, c'est-à-dire en logique du premier ordre enrichie de quantifications existentielles sur les ensembles. C'est le résultat fondateur de la complexité descriptive. Ce résultat est remarquable, puisqu'il caractérise la classe NP sans avoir recours à une notion de modèle de calcul comme la machine de Turing.
Complétude (logique)En logique mathématique et métalogique, un système formel est dit complet par rapport à une propriété particulière si chaque formule possédant cette propriété peut être prouvée par une démonstration formelle à l'aide de ce système, c'est-à-dire par l'un de ses théorèmes ; autrement, le système est dit incomplet. Le terme « complet » est également utilisé sans qualification, avec des significations différentes selon le contexte, la plupart du temps se référant à la propriété de la validité sémantique.
Plural quantificationIn mathematics and logic, plural quantification is the theory that an individual variable x may take on plural, as well as singular, values. As well as substituting individual objects such as Alice, the number 1, the tallest building in London etc. for x, we may substitute both Alice and Bob, or all the numbers between 0 and 10, or all the buildings in London over 20 stories. The point of the theory is to give first-order logic the power of set theory, but without any "existential commitment" to such objects as sets.
NonfirstorderizabilityIn formal logic, nonfirstorderizability is the inability of a natural-language statement to be adequately captured by a formula of first-order logic. Specifically, a statement is nonfirstorderizable if there is no formula of first-order logic which is true in a model if and only if the statement holds in that model. Nonfirstorderizable statements are sometimes presented as evidence that first-order logic is not adequate to capture the nuances of meaning in natural language.
Théorème de LindströmEn logique mathématique, le théorème de Lindström (publié en 1969 par le logicien suédois Per Lindström) caractérise la logique du premier ordre comme suit : en gros, il s'agit de la logique qui possède le théorème de compacité et le théorème de Löwenheim-Skolem descendant. L'énoncé du théorème est le suivant : Soit L une logique abstraite (i.e. qui vérifie certaines conditions, voir plus loin) qui est plus expressive que la logique du premier ordre.
Non-logical symbolIn logic, the formal languages used to create expressions consist of symbols, which can be broadly divided into constants and variables. The constants of a language can further be divided into logical symbols and non-logical symbols (sometimes also called logical and non-logical constants). The non-logical symbols of a language of first-order logic consist of predicates and individual constants. These include symbols that, in an interpretation, may stand for individual constants, variables, functions, or predicates.
SatisfaisabilitéEn logique mathématique, la satisfaisabilité ou satisfiabilité et la validité sont des concepts élémentaires de sémantique. Une formule est satisfaisable s'il est possible de trouver une interprétation (modèle), une façon d'interpréter tous les éléments constitutifs de la formule, qui rend la formule vraie. Une formule est universellement valide, ou en raccourci valide si, pour toutes les interprétations, la formule est vraie.
Fixed-point logicIn mathematical logic, fixed-point logics are extensions of classical predicate logic that have been introduced to express recursion. Their development has been motivated by descriptive complexity theory and their relationship to database query languages, in particular to Datalog. Least fixed-point logic was first studied systematically by Yiannis N. Moschovakis in 1974, and it was introduced to computer scientists in 1979, when Alfred Aho and Jeffrey Ullman suggested fixed-point logic as an expressive database query language.
Signature (logique)En calcul des prédicats et en algèbre universelle, une signature est une liste de symboles de constante, de fonction ou de relation, chacun ayant une arité. Dans certains formalismes, pour avoir moins de non-dit, la signature est une liste de couples (symbole, arité). La signature fournit les éléments primitifs pour la construction d'un langage du premier ordre sur cette signature. En calcul des prédicats à plusieurs types d'objets et en théorie des types, chaque symbole possède un type (l'arité n'est pas suffisante).