Greek love is a term originally used by classicists to describe the primarily homoerotic customs, practices, and attitudes of the ancient Greeks. It was frequently used as a euphemism for both homosexuality and pederasty. The phrase is a product of the enormous impact of the reception of classical Greek culture on historical attitudes toward sexuality, and its influence on art and various intellectual movements.
'Greece' as the historical memory of a treasured past was romanticised and idealised as a time and a culture when love between males was not only tolerated but actually encouraged, and expressed as the high ideal of same-sex camaraderie. ... If tolerance and approval of male homosexuality had happened once—and in a culture so much admired and imitated by the eighteenth and nineteenth centuries—might it not be possible to replicate in modernity the antique homeland of the non-heteronormative?
Following the work of sexuality theorist Michel Foucault, the validity of an ancient Greek model for modern gay culture has been questioned. In his essay "Greek Love", Alastair Blanshard sees "Greek love" as "one of the defining and divisive issues in the homosexual rights movement.
As a phrase in Modern English and other modern European languages, "Greek love" refers to various (mostly homoerotic) practices as part of the Hellenic heritage reinterpreted by adherents such as Lytton Strachey; quotation marks are often placed on either or both words ("Greek" love, Greek "love", or "Greek love") to indicate that usage of the phrase is determined by context. It often serves as a "coded phrase" for pederasty, or to "sanitize" homosexual desire in historical contexts where it was considered unacceptable.
The German term griechische Liebe ("Greek love") appears in German literature between 1750 and 1850, along with socratische Liebe ("Socratic love") and platonische Liebe ("Platonic love") in reference to male-male attractions. Ancient Greece became a positive reference point by which homosexual men of a certain class and education could engage in discourse that might otherwise be taboo.
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vignette|upright|Bustes de l'empereur romain Hadrien et de son amant Antinoüs, aujourd'hui conservé au British Museum de Londres. vignette|Mosaïque romaine de Suse (en Libye), représentant le mythe de Zeus sous la forme d'un aigle enlevant le garçon Ganymède. L'homosexualité dans la Rome antique regroupe l'ensemble des relations amoureuses, désirs, pratiques sexuelles, entre personnes de même sexe et les représentations, discours et productions artistiques qui y sont associées.
thumb|right|220px|Rapport sexuel hétérosexuel, céramique mésopotamienne 2000 av. J.-C. Les représentations érotiques sont les peintures, sculptures, photographies, œuvres musicales et littéraires qui montrent ou décrivent des scènes à caractère sexuel. On retrouve des représentations érotiques d’actes sexuels dans presque chaque civilisation, qu’elle soit antique ou moderne. Les civilisations les plus anciennes ont souvent associé l’acte sexuel à des forces surnaturelles, et les représentations de celui-ci et la spiritualité étaient souvent intimement liées.
Les preuves de l'homosexualité dans la Grèce antique sont nombreuses. Cette civilisation est souvent citée comme un modèle de tolérance pour l'homosexualité en général. Cependant, un examen détaillé des sources offre une image plus nuancée. thumb|Scène amoureuse lors d'un symposium sur une fresque du tombeau du Plongeur, à Poséidonia, vers 480-470 av. J.-C.. La place accordée à l'homosexualité était différente d'une cité à l'autre. La pédérastie et l'amour entre garçons étaient socialement acceptés et parfois même encouragés.