La gestion intégrée des zones côtières (GIZC) est une démarche et un outil de gouvernance des territoires littoraux visant un développement durable. Elle promeut une gestion intégrée de l’espace et des ressources prenant simultanément en compte les enjeux terrestres et marins, naturels économiques et sociaux d'une zone littorale définie comme territoire cohérent de réflexion et d'action.
Elle est née des suites du sommet de Rio (1992) et de l'approche Agenda 21.
La Communauté européenne l'a recommandée par une série de communications, démonstrations et recommandations (2002-413-CE).
Elle est notamment recommandée en 1971 par la convention de Ramsar et par le sommet de la terre de Johannesburg qui a fait de la gestion de l'eau une priorité mondiale pour le développement durable.
En France, la Commission environnement littoral (2002) a défini la GIZC comme « Processus dynamique, continu et itératif destiné à promouvoir le développement durable des zones côtières».
La GIZC est un des moyens de répondre à différents problèmes induits par l'intensification et la densification croissante des activités humaines ; problèmes qui se posent de manière souvent exacerbée sur les littoraux. Ce sont par exemple et en particulier ; l'urbanisation et de la périurbanisation ; les activités portuaires ; le tourisme ; la surpêche et la surexploitation de nombreuses ressources naturelles, la fragmentation écologique et la dégradation des milieux naturels littoraux, alors même que la menace d'une montée de la mer se fait jour, et que le littoral est plus que les autres régions touchées par la pression d'aménagements, touristiques et routiers notamment.
C'est un concept initialement développé par le monde scientifique, sur la base du constat que seule une approche systémique permettrait de prendre en compte la complexité du littoral, tant sur le plan physique (interface terre-mer) que sur le plan de la gestion et de la gouvernance (cf. multitude des fonctions, des secteurs d’activité concernés et de décideurs agissant le plus souvent sans concertation, alors que les effets de leurs décisions se superposent et interagissent).
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A coastal development hazard is something that affects the natural environment by human activities and products. As coasts become more developed, the vulnerability component of the equation increases as there is more value at risk to the hazard. The likelihood component of the equation also increases in terms of there being more value on the coast so a higher chance of hazardous situation occurring. Fundamentally humans create hazards with their presence.
Beach evolution occurs at the shoreline where sea, lake or river water is eroding the land. Beaches exist where sand accumulated from centuries-old, recurrent processes that erode rocky and sedimentary material into sand deposits. River deltas deposit silt from upriver, accreting at the river's outlet to extend lake or ocean shorelines. Catastrophic events such as tsunamis, hurricanes, and storm surges accelerate beach erosion. Beach accretion and erosion Tsunamis, potentially enormous waves often caused by earthquakes, have great erosional and sediment-reworking potential.
Coastal sediment supply is the transport of sediment to the beach environment by both fluvial and aeolian transport. While aeolian transport plays a role in the overall sedimentary budget for the coastal environment, it is paled in comparison to the fluvial supply which makes up 95% of sediment entering the ocean. When sediment reaches the coast it is then entrained by longshore drift and littoral cells until it is accreted upon the beach or dunes. While it is acknowledged that storm systems are the driver behind coastal erosion.
Several studies have investigated new particle formation (NPF) events from various sites ranging from pristine locations, including forest sites, to urban areas. However, there is still a dearth of studies investigating NPF processes and subsequent aerosol ...
The eco-morphodynamic activity of large tropical rivers in South and Central America is analyzed to quantify the carbon flux from riparian vegetation to inland waters. We carried out a multi-temporal analysis of satellite data for all the largest rivers in ...
Salt marshes are highly productive intertidal wetlands providing important ecological services for maintaining coastal biodiversity, buffering against oceanic storms, and acting as efficient carbon sinks. However, about half of these wetlands have been los ...