Kalyanamitra(Pali; Skt.: ; CHN: 善知識) is a Buddhist concept of "admirable friendship" within Buddhist community life, applicable to both monastic and householder relationships. One involved in such a relationship is known as a "good friend", "virtuous friend", "noble friend" or "admirable friend" (). In the Pali Canon's Upaddha Sutta (SN 45.2), there is a conversation between Lord Buddha and his disciple Ananda in which Ananda enthusiastically declares, 'This is half of the holy life, lord: admirable friendship, admirable companionship, admirable camaraderie.
Theravāda AbhidhammaThe Theravāda Abhidhamma is a scholastic systematization of the Theravāda school's understanding of the highest Buddhist teachings (Abhidhamma). These teachings are traditionally believed to have been taught by the Buddha, though modern scholars date the texts of the Abhidhamma Piṭaka to the 3rd century BCE. Theravāda traditionally sees itself as the vibhajjavāda ("the teaching of analysis"), which reflects the analytical (vibhajjati) method used by the Buddha and early Buddhists to investigate the nature of the person and other phenomena.
Abhijñāvignette Abhijñā (sanskrit ; en pali : abhiññā) est un terme du bouddhisme qui désigne, dans la signification originelle, la connaissance directe. Abhiññā est parfois même assimilé à pratyaksha. Par exemple, dans le AN 4.254, abhiññā est décrit comme permettant la complète compréhension des cinq khandhas, l'abandon de avijjā et bhava·tanhā, l'expérience de vijjā et vimutti, et le développement de samatha et vipassanā. Ce terme désigne aussi des pouvoirs extraordinaires acquis par la méditation, par exemple une connaissance supérieure.
KammatthanaIn Buddhism, is a Pali word (Sanskrit: karmasthana) which literally means place of work. Its original meaning was someone's occupation (farming, trading, cattle-tending, etc.) but this meaning has developed into several distinct but related usages all having to do with Buddhist meditation. Its most basic meaning is as a word for meditation, with meditation being the main occupation of Buddhist monks. In Burma, senior meditation practitioners are known as "kammatthanacariyas" (meditation masters).
PaṭisambhidāmaggaThe Patisambhidamagga (; Pali for "path of discrimination"; sometimes called just Patisambhida for short; abbrevs.: ) is a Buddhist scripture, part of the Pali Canon of Theravada Buddhism. It is included there as the twelfth book of the Sutta Pitaka's Khuddaka Nikaya. Tradition ascribes it to the Buddha's disciple Sariputta. It comprises 30 chapters on different topics, of which the first, on knowledge, makes up about a third of the book. Tradition ascribes the Patisambhidamagga to the Buddha's great disciple, Sariputta.
Pali literaturePali literature is concerned mainly with Theravada Buddhism, of which Pali is the traditional language. The earliest and most important Pali literature constitutes the Pāli Canon, the authoritative scriptures of Theravada school. Pali literature includes numerous genres, including Suttas (Buddhist discourses), Vinaya (monastic discipline), Abhidhamma (philosophy), poetry, history, philology, hagiography, scriptural exegesis, and meditation manuals. The Pali language is a composite language which draws on various Middle Indo-Aryan languages.
ĀnāpānasatiĀnāpānasati (āna-apāna-sati, mot pāli) signifie « attention au souffle ». Dans le bouddhisme theravada, le souffle est l'objet de méditation le plus courant quand il s'agit de calmer l'esprit, par la pratique de la méditation "samatha bhavana". Le souffle est toujours présent chez tout être vivant, et ce phénomène se fait parfois de manière consciente, parfois non, ce qui semble être les principales raisons de la popularité de cette pratique. L'attention au souffle est également populaire dans la pratique de la méditation "Vipassana".
NīvaraṇaNīvaraṇa est un terme pali qui désigne cinq empêchements ou obstacles qui entravent l'état mental d'un méditant bouddhiste. le désir sensoriel (kāmacchanda) la colère ou malveillance (vyāpāda) la torpeur (thīna-middha) l'agitation (uddhacca-kukkucca) le doute (vicikicchā) Dans l'Anguttara Nikaya (V, 193), le désir sensoriel est comparé à de l'eau mélangée à plusieurs couleurs ; la malveillance, à de l'eau bouillante ; la torpeur à de l'eau couverte de mousses ; l'agitation à de l'eau agitée par le vent ; le doute sceptique, à de l'eau trouble et bourbeuse.
SamathaSamatha (en pali) ou shamatha (en sanscrit : शमथ, IAST : śamatha), en tibétain chiné (ཞི་གནས་), désigne dans le bouddhisme la « tranquillité de l'esprit », la « quiétude » ou le « calme mental », et par extension la première étape des pratiques de méditation bouddhique permettant de développer cet état. La deuxième étape de la méditation bouddhique est la pratique de vipassanā, la « vue profonde ». méditation bouddhique La tradition tibétaine se fonde sur les textes de base suivants : le Ratnamegha sutra, le et sur les de Kamalashila.
Visuddhimaggavignette|Buddhaghosa remet trois exemplaires du Visuddhimagga à un moine supérieur. Peinture murale, temple Kelaniya Rāja Mahā Vihāra, Colombo, Sri Lanka. Le Visuddhimagga (La Voie de la pureté / purification) est généralement considéré comme le texte le plus important de la tradition theravādin en dehors des sutta du canon bouddhique pāli. Il fut rédigé par Buddhaghosa au , en magadhi, au Sri Lanka et consiste en un développement des sept purifications que Gautama Bouddha exposa dans le Rathavinitasutta (Majjhima Nikaya 24).