Concept

L'Idéal Cinéma-Jacques Tati

Résumé
L'Idéal Cinéma à Aniche n'est ancien que par son nom ; ce fut d'abord un hôtel syndical. Ce n'est qu'en 1922, lors de l'achat d'un premier appareil de projection, que l'édifice prend le nom d'Idéal Cinéma. Rénové à plusieurs reprises il est définitivement fermé en 1977. L' édifice est entièrement rasé pour faire place au Centre culturel communal Claude Berri inauguré le 3 mai 1995. Le centre communal culturel est composé de L’Idéal Cinéma - Jacques Tati ainsi que de la salle Louis Pol. L'ancienne salle ainsi que la façade symbolique ont disparu. Le une conférence payante est organisée par M. Fourriére afin de nommer une chambre syndicale. Cette conférence attire peu de monde mais, le , la chambre syndicale des ouvriers verriers d'Aniche et environs est créée avec 268 membres. En 1899, Paul Quévy, Albert Gallet, Jean-Baptiste Bourlon refondent le syndicat et achètent un terrain pour et en faire une « Maison du Peuple » qui devient l'Hôtel du Syndicat puis, en 1922, l'Idéal Cinéma. Le dimanche , la « Maison du Peuple » est inaugurée par le nouveau président Joseph Humez et Raoul Hancart comme secrétaire-trésorier du syndicat. Le coût de construction est de . Un grand bal s'ensuit. Une douzaine de bals par an avec celui des conscrits. Une première séance de théâtre le . Concerts, concours de boxe, combats de coqs et conférences politiques et syndicales, mais aussi soirée de magnétisme par le douaisien François Jollivet-Castelot ; trésorier général de l'Union communiste spiritualiste. Le , le Cinéma automobile fait une première projection de cinéma. Un café est créé dont le gérant est payé par le syndicat, l'aile gauche est louée à Louis Brasseur pour une coopérative L'avenir des travailleurs qui dure de 1903 à 1911. L'anarchiste Benoît Broutchoux, opposant à Émile Basly, qu'il considérait comme un traître passé du côté des patrons, organise le au cinéma une conférence sur la vie chère. Cette conférence fait suite à une manifestation du à Billy-Montigny, des manifestantes se rendirent chez un boulanger pour lui imposer leurs tarifs.
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