A sāmaṇera (Pali), श्रामणेर (), is a novice male monastic in a Buddhist context. A female novice is a śrāmaṇerī or śrāmaṇerikā (Sanskrit; Pāli: sāmaṇerī).
The sāmaṇera is a Pali language diminutive equivalent to the Sanskrit term śrāmaṇera, which indicates an ascetic practitioner. Therefore, sāmaṇera might be said to mean "small or young renunciate". In some South and Southeast Asian Buddhist traditions, the term refers to someone who has taken the initial pravrajya vows but not the upasampada or full ordination. The pratimokṣa rules do not apply to them and they do not take part in the recital of the rules on uposatha days.
The Sanskrit word śrāmaṇerikā is the feminine form of śrāmaṇera.
The account provided in the literature of South Asian Buddhism (and adopted by other Buddhist sects) is that when Gautama Buddha's son Rāhula was seven years old, he followed the Buddha, saying "Give me my inheritance." The Buddha called Sariputta and asked him to ordain Rāhula, who became the first sāmaṇera.The King (Suddhodana), discovering that now his grandson and a number of young men in the royal family had requested ordination, asked the Buddha only to ordain a minor with the consent of his parents or guardian. The Buddha assented. This rule was expanded to include the spouses of those intending to join the Order of monks and nuns.
Vinaya
In the Vinaya (monastic regulations) used by many South Asian Buddhist sects, a man under the age of 20 cannot ordain as a bhikṣu (monk) but can ordain as a sāmaṇera. Sāmaṇeras (and sāmaṇerīs – the equivalent term for girls) keep the Ten Precepts as their code of behaviour and devote themselves to the religious life during breaks from secular schooling, or in conjunction with it if devoted to formal ordination. In other cultures and Buddhist traditions (particularly North East Asia, and those in the West that derive from these lineages), monks take different sets of vows, and follow different customary rules.
The Ten Precepts upheld by sāmaṇeras are:
Refrain from killing/harming living things.
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Une bhikkhuni (pali) ou bhikshuni (sanskrit) est une moniale bouddhiste qui a reçu l’ordination complète (upasampada), suivant un noviciat (shramanerika puis shikshamana) d’au moins deux ans. L’ordre des bhikkhunis a été fondé cinq ans après celui des bhikkhus, avec l’accord quelque peu réticent du Bouddha Gautama, qui leur imposa huit règles spécifiques les assujettissant aux moines. La première moniale aurait été Mahaprajapati Gautami, sa tante et mère adoptive.
Bhikshu, IAST Bhikṣu, mot sanskrit (féminin : bhikṣuṇī, pali : bhikkhu ; chinois : ( pour une femme) ; japonais : , pour une femme) ; en tibétain, pour les novices, Getsul au masculin et Getsulma au féminin, pour les moines pleinement ordonnés Gelong au masculin et au féminin ; signifie littéralement : mendiant ; dans le bouddhisme, ce terme désigne les moines, du fait qu'ils ne peuvent, en principe, mettre de côté de la nourriture, mais doivent la quêter. Les moines et nonnes constituent le sangha.
vignette|Moine Bouddhiste dans le temple de Uposatha en Thaïlande. Patimokkha (?, (pāṭimokkha) ou pratimokṣa (प्रतिमोक्ष, pratimokṣa, prati signifie, « avancer », « en avant » et mokṣa signifie « libération » (dans le sens de libération de l'existence cyclique)) ou encore prātimokṣa, est dans le bouddhisme le nom donné à un ensemble de règles de conduite; dans l'école theravada elles sont 227 réparties en sept sections, devant être respectées par les moines (bhikkhu). Il fait partie du Suttavibhanga, division du Vinaya Pitaka.