Le vieux perse est la forme attestée la plus ancienne du persan. Il fait partie du groupe des langues iraniennes, un sous-groupe des langues indo-iraniennes et des langues indo-européennes.
La langue vieux-perse était utilisée dans les inscriptions, en écriture cunéiforme persane ancienne datant des rois achéménides. De vieux textes perses (notamment des inscriptions, des tablettes et des sceaux) ont été retrouvés en Iran, en Turquie et en Égypte. Le vieux perse n’est pas l’ancêtre direct du persan moderne. C’était le dialecte parlé à Persépolis que Darius a élevé au rang de norme. Comme ce dernier était tout à fait conscient que sa langue ne serait pas comprise de tous les sujets de son vaste empire, il a fait ériger des inscriptions bilingues ou trilingues. L'inscription de Behistun, par exemple, est une trilingue vieux-perse, babylonienne et élamite.
Le vieux perse s’écrivait de gauche à droite et utilisait une graphie cunéiforme. L’écriture cunéiforme du vieux perse contenait 36 signes qui représentent des consonnes, des voyelles ou des séquences comprenant une seule consonne et des voyelles (phonogrammes), trois nombres (1, 10 et 100), un séparateur de mots et huit idéogrammes.
Bien que les signes utilisés ressemblent au cunéiforme akkadien (langue sémitique qui l’a emprunté au sumérien), un seul, le L, en est dérivé. Les chercheurs s’accordent aujourd’hui sur l’invention de cette écriture autour de -525 et sur son utilisation jusque vers -330. Le roi achéménide Darius est probablement le premier roi à l’avoir utilisée pour des inscriptions sur des monuments.
Bien que basé sur un principe logo-syllabique (un dérivé de l’écriture logographique), ce système est essentiellement alphabétique dans son caractère. 13 des 22 consonnes sont invariantes, quelle que soit la voyelle qui les suit (ce qui signifie qu’elles sont alphabétiques), et 6 seulement ont une forme distincte pour chaque combinaison consonne-voyelle (ce qui signifie qu’elles sont syllabiques) ; parmi ces dernières, seuls le d et le m ont trois formes différentes pour chacune des trois voyelles (le k, le g, le j et le v ont une forme distincte devant deux des trois voyelles seulement).
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Les Achéménides (prononcé ) sont une dynastie de rois qui ont fondé et dirigé le premier des empires perses à régner sur une grande partie du Moyen-Orient durant le Il s'agit d'un des plus grands empires ayant existé durant l'Antiquité, s'étendant sur environ de kilomètres carrés. Il s'étend alors au nord et à l'ouest en Asie Mineure, en Thrace et sur la plupart des régions côtières du Pont-Euxin ; à l'est jusqu'en Afghanistan et sur une partie du Pakistan actuels, et au sud et au sud-ouest sur l'actuel Irak, sur la Syrie, le Liban, Israël et la Palestine, la Jordanie, le nord de l'Arabie saoudite, l'Égypte, et jusqu'au nord de la Libye.
LEmpire sassanide, officiellement connu sous le nom dempire des Iraniens (en pehlevi : 𐭠𐭩𐭥𐭠𐭭𐭱𐭲𐭥𐭩 / Ērānshahr), et aussi appelé Empire néo-perse par les historiens, est la désignation pour la dernière dynastie impériale perse à exister avant la conquête arabo-musulmane au milieu du . Nommé d'après la , il a duré plus de quatre siècles, de 224 à 651, ce qui en fait la plus longue dynastie perse ayant persisté.
Atossa ( - ), princesse de sang, est la fille de Cyrus le Grand et l'une des impératrices-mères de la dynastie des Achéménides. Selon Hérodote (3.31), elle épousa d'abord son frère , qui était fou et dont elle eut à partager les faveurs avec une de ses sœurs, qui fut finalement assassinée par Cambyse parce qu'elle avait plaidé en faveur de son frère disgracié Smerdis. Après la mort de Cambyse en 522, elle est forcée d'épouser un usurpateur qui a secrètement assassiné son frère Smerdis et qui se fait passer pour lui.
Despite the progress made in recent years in addressing natural language understanding (NLU) challenges, the majority of this progress remains to be concentrated on resource-rich languages like English. This work focuses on Persian language, one of the wid ...