Les sont un ordre d'amphibiens vermiformes. Ils sont appelés en français apodes, cécilies ou gymnophiones. Le taxon Apoda est également utilisé pour désigner le groupe-couronne des espèces actuelles. Il ne doit pas être confondu avec le genre Apoda qui désigne des lépidoptères nocturnes de la famille des Limacodidae.
Les gymnophiones ont été décrits par Johannes Peter Müller en 1832 et regroupent des amphibiens terrestres et aquatiques, auxquels des pattes atrophiées donnent l'aspect de vers de terre.
Les gymnophiones sont des lissamphibiens fouisseurs, dépourvus de membres et de ceinture. Suivant les espèces, leur taille varie entre et . En général, leur taille varie entre et (Taylor, 1968). Ils sont généralement carnivores.
Leur corps est cylindrique et allongé. Il est marqué sur toute son étendue d’une succession d’anneaux et sillons transversaux. Le tronc est terminé par une courte queue de même diamètre que le reste du corps. Chaque anneau correspond à une vertèbre, dont le nombre peut atteindre 300.
Chez plusieurs genres tels que Typhlonectes il n’y a pas d’anneaux mais des plis. Plusieurs familles possèdent une véritable queue correspondant à plusieurs vertèbres situées en arrière de l’orifice cloacal. Chez d'autres, il n’y a pas de queue car pas de vertèbres postérieures au cloaque. Chez d’autres enfin, un petit appendice, l'écu (shield de Taylor, 1968) est postérieur au cloaque. L’ouverture cloacale peut avoir une forme différente selon le sexe mais il est souvent difficile de déterminer extérieurement le sexe.
La peau est épaisse généralement grisâtre et peut être recouverte d’écailles chez les espèces appartenant aux familles considérées comme les moins évoluées (Rhinatrematidae, Ichthyophiidae). Ces écailles ressemblent à celles des poissons ostéichthyens et recouvrent tout le corps. Chez d’autres espèces, les écailles couvrent seulement la partie postérieure du corps. Dans ce cas les écailles les plus antérieures sont plus petites que les autres et dispersées dans la peau. C’est le cas de Geotrypetes seraphini, par exemple.
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La sous-classe des Labyrinthodontia (du grec Labyrinthodontia « à dents en labyrinthe », en français Labyrinthodontes) est un taxon paraphylétique de la classe des amphibiens stégocéphales. Il regroupe les ordres des ichthyostegales dont le genre le plus connu est Ichthyostega, et des temnospondyles, qui sont parents des amphibiens actuels. Ce taxon a été utilisé dans la classification évolutionniste de Romer en 1966, puis repris par Colbert en 1969, et Carroll en 1988.
En taxinomie traditionnelle, la sous-classe des Lissamphibia, ou lissamphibiens, est le seul groupe survivant de la classe des amphibiens (anciennement batraciens). C'est un groupe de vertébrés tétrapodes, même si les membres chiridiens se sont perdus secondairement chez les gymnophiones (ou apodes). En taxinomie phylogénétique (qui s'intéresse d'abord aux relations de parenté), les lissamphibiens actuels constituent un groupe dont la monophylie semble avérée, constituant donc un clade à proprement parler.
L’herpétologie (du ἑρπετόν herpetón, « qui rampe, reptile »), ou erpétologie, est la branche de l'histoire naturelle qui traite des amphibiens et des reptiles. La batrachologie est la branche qui traite plus spécifiquement des amphibiens, de même que l'ophiologie étudie plus particulièrement les serpents. Comme toutes les branches de la zoologie, ces disciplines abordent la classification, l'écologie, le comportement, la physiologie, et l'anatomie de ces différentes classes et espèces d'animaux vivants, ainsi que l'étude de leurs espèces disparues ou fossiles.
The products of Hox-4 genes appear to encode position in developing vertebrate limbs. In chick embryos, a number of different signalling regions when grafted to wing buds lead to duplicated digit patterns. We grafted tissue from the equivalent regions in m ...