Philosophie des sciencesLa philosophie des sciences est la branche de la philosophie qui étudie les fondements philosophiques, les méthodes et les implications de la science, qu'il s'agisse de sciences naturelles ou de sciences sociales. La philosophie des sciences a pour objet la définition de la science, son but et la fiabilité des théories. Dans cette optique, elle s'appuie sur la philosophie (métaphysique, ontologie, éthique) et l'histoire des sciences.
Histoire des mathématiquesL’histoire des mathématiques s'étend sur plusieurs millénaires et dans de nombreuses régions du globe allant de la Chine à l’Amérique centrale. Jusqu'au , le développement des connaissances mathématiques s’effectue essentiellement de façon cloisonnée dans divers endroits du globe. À partir du et surtout au , le foisonnement des travaux de recherche et la mondialisation des connaissances mènent plutôt à un découpage de cette histoire en fonction des domaines mathématiques.
Relation entre science et religionthumb|Dans la pensée médiévale, la science, la géométrie et l'astronomie étaient directement liées au divin. Le compas dans ce manuscrit du symbolise la création. Bible moralisée de Vienne 2554, f.1v. La relation entre science et religion est un sujet abordé depuis l'Antiquité dans de nombreux champs d'investigation, dont la philosophie des sciences, la théologie, l'histoire des sciences et l'histoire des religions. La philosophie de la religion peut être tout d’abord une phénoménologie qui se contente de décrire l’intentionnalité religieuse, d’en dégager le sens.
LogicismeLe logicisme est une attitude vis-à-vis des mathématiques selon laquelle celles-ci sont une extension de la logique et donc que tous les concepts et théories mathématiques sont réductibles à la logique. Si ce programme était réalisable, il pourrait soutenir le positivisme logique en particulier, et le réductionnisme en général. Bertrand Russell et Alfred North Whitehead ont défendu cette approche, créée par le mathématicien Gottlob Frege. Le logicisme a joué un rôle clé dans le développement de la philosophie analytique au .
Philosophie naturelleLa philosophie naturelle, connue en latin sous le terme philosophia naturalis, est une expression qui s'appliquait à l'étude de la nature et de l'univers physique qui régnait avant le développement de la science moderne (Galilée), les philosophes posant des questions pertinentes qui, de leur temps, restèrent sans réponse, faute de moyens techniques appropriés. Traditionnellement alliée à la théologie naturelle, elle désignait autrefois l'ensemble des sciences naturelles (astronomie, physique, chimie et biologie).
Theory of categoriesIn ontology, the theory of categories concerns itself with the categories of being: the highest genera or kinds of entities according to Amie Thomasson. To investigate the categories of being, or simply categories, is to determine the most fundamental and the broadest classes of entities. A distinction between such categories, in making the categories or applying them, is called an ontological distinction. Various systems of categories have been proposed, they often include categories for substances, properties, relations, states of affairs or events.
Substance (philosophie)En philosophie, le mot substance (du latin substantia, ce qui est dessous, le support de substare, se tenir dessous) désigne ce qu'il y a de permanent dans les choses qui changent, c'est le support des qualités (accidentelles et essentielles). Le substratum, ou substance, est une conception de la nature fondamentale des objets ou des personnes selon laquelle un objet (ou une personne) est une « substance » distincte de ses propriétés.
Quantification (logique)vignette|Symboles mathématiques des deux quantificateurs logiques les plus courants.|236px En mathématiques, les expressions « pour tout » (ou « quel que soit ») et « il existe », utilisées pour formuler des propositions mathématiques dans le calcul des prédicats, sont appelées des quantifications. Les symboles qui les représentent en langage formel sont appelés des quantificateurs (ou autrefois des quanteurs). La quantification universelle (« pour tout ... » ou « quel que soit ... ») se dénote par le symbole ∀ (un A à l'envers).