Concept

Aryadeva

Concepts associés (14)
Bouddhisme mahāyāna
Le bouddhisme mahāyāna, (terme sanskrit – महायान – signifiant « grand véhicule », en chinois : 大乘, dàchéng ; en japonais : 大乗, daijō ; en vietnamien : Đại Thừa ; en coréen : 대승, dae-seung), apparaît vers le début de notre ère dans le Nord de l’Inde et dans l'Empire kouchan, d’où il se répand rapidement au Tarim et en Chine, avant de se diffuser dans le reste de l’Extrême-Orient.
Buddhapālita
Buddhapālita (c. 470-540) est un philosophe indien bouddhiste de l'école madhyamika. Il systématisa la méthode qui consiste à pousser jusqu'à l'absurde les conséquences logiques des systèmes adverses. D'où le nom de prasangika (conséquentialistes) donnés aux partisans de cette méthode : Candrakîrti, Shantideva. Commentaire des Madhyamaka Karika de Nagarjuna, édi. (de la version tibétaine) par Max Welleser, Delhi, Motilal Banardsidas, 1992.
Bhavaviveka
Bhāviveka, also called Bhāvaviveka (; ), and Bhavya was a sixth-century (c. 500 – c. 570) madhyamaka Buddhist philosopher. Alternative names for this figure also include Bhavyaviveka, Bhāvin, Bhāviviveka, Bhagavadviveka and Bhavya. Bhāviveka is the author of the Madhyamakahrdaya (Heart of the Middle), its auto-commentary the Tarkajvālā (Blaze of Reasoning) and the Prajñāpradīpa (Lamp for Wisdom). In Tibetan Buddhism Bhāviveka is regarded as the founder of the svātantrika tradition of mādhyamaka, as opposed to the prāsaṅgika madhyamaka of Chandrakirti.
Mahāsiddha
Un Mahāsiddha est l'un des quatre-vingt-quatre ascètes bouddhistes indiens, « Grands Accomplis » dans les pratiques du Vajrayāna, qui vécurent du VIIe au XIIe siècle. Les mahasiddhas avaient généralement une vie très peu conventionnelle, et a fortiori en comparaison avec la vie très réglée des moines bouddhistes. Certains mahasiddhas vivaient d'artisanat comme Saraha qui taillait des flèches, Kumbharipa qui était potier, Vinâ qui était musicien, Tantîpa qui était tisserand, un autre qui était forgeron.
Mulamadhyamakakarika
La Mulamadhyamakakarika (IAST: Mūlamadhyamakakārikā, aussi appelée Mādhyamikasūtra), littéralement , est l’œuvre la plus importante du philosophie bouddhiste Nagarjuna, au de notre ère. Ce titre a été rendu en français par Stances de la Voie du milieu par excellence ou encore par Stances-racines de la voie médiane. Composées en sanskrit au , les Stances de la voie du Milieu ont été traduites en chinois vers 400 par Kumârajîva, puis en tibétain au par Jñânagarbha et Tchokro Lui Gyaltsen.
Chandrakîrti
Chandrakirti (IAST: Candrakīrti, ), mot sanskrit signifiant renommée de la Lune (de candra, Lune et kīrti, renommée), est un maitre et érudit indien bouddhiste de l'école madhyamika du mahayana qui vécut au milieu du . Critiquant l'usage positif de la dialectique initié par Bhavyaviveka, Candrakīrti opéra un retour à Nāgārjuna et à sa méthode réfutative.
Philosophie bouddhiste
Cet article traite du bouddhisme comme philosophie. En effet, le bouddhisme comporte une telle dimension philosophique qu'il est perçu par un certain nombre de ses pratiquants et observateurs comme philosophie plutôt que religion, bien que cette qualification soit parfois préférée. L'approche philosophique du bouddhisme est notamment menée par des auteurs ou intellectuels occidentaux, qui cherchent à le replacer dans une grille conceptuelle d'héritage européen.
Nâlandâ
Nālandā (hindî/sanskrit/pâli : नालंदा) est une ville de l'État du Bihar, en Inde du nord, près du Népal, ancien siège d'un important centre universitaire bouddhiste, comptant à son apogée jusqu'à moines. L'université de Nâlandâ fut un centre majeur de la pensée indienne, dont l'influence s'étendit sur une grande partie de l'Asie : Asie centrale, Himalaya, Asie du Sud-Est, Chine et Japon. Elle fait partie du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 2016. L'empereur Ashoka (v.
Nāgārjuna
Nāgārjuna, ou Nagardjouna, est un moine, philosophe, écrivain bouddhiste indien ( - ), fondateur de l'école Madhyamaka et originaire de la région correspondant à l'Andhra Pradesh actuel. Beaucoup de points sur son existence relèvent de récits mythiques, si bien qu'il est difficile de dissocier les apports ultérieurs des éléments de sa vie originelle. thumb|right|Bas-relief du stūpa d'Amaravati , proche de Nagarjunakonda dans l'Andhra Pradesh où aurait vécu Nāgārjuna à la même époque, British Museum.
Śūnyatā
Śūnyatā, terme sanskrit, (devanāgarī: शून्यता ; en pāli suññatā, en chinois kōng 空, en ), désigne dans le bouddhisme la . C'est-à-dire la vacuité des êtres et des choses, leur absence d'être en soi (anātman) et de nature propre (svabhāva), autrement dit l'inexistence de toute essence, de tout caractère fixe et inchangeant. Elle s'applique aux choses aussi bien qu'aux pensées et aux états d'esprits. Elle est beaucoup liée à l'ainsité (tathātā). thumb|upright|L’Enso est le symbole de la vacuité dans le bouddhisme zen.

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