Le capital naturel fait référence aux ressources telles que minéraux, plantes, animaux, air, pétrole de la biosphère terrestre, vus comme moyens de production de biens et services écologiques : production d'oxygène, épuration naturelle de l'eau, prévention de l'érosion, pollinisation des cultures, et même fourniture de services récréatifs, y compris les « services de beauté des paysages ». Le capital naturel constitue une approche d'estimation de la valeur d'un écosystème, une alternative à la vue plus traditionnelle selon laquelle la nature et la vie non-humaine constituent des ressources naturelles passives sans production propre : le capital naturel s'adjoint donc au terme de capital productif.
Il s'agit d'une expression quelquefois employée dans certaines analyses économiques qui cherchent à prendre en compte les objectifs de développement durable. D'autres approches existent, comme l'empreinte écologique et l'éco-efficacité.
Des études montrent que certaines des composantes du capital naturel mondial décroissent depuis quelques décennies, parfois de façon alarmante.
Chez les physiocrates, la terre était considérée comme le seul facteur réel de création de richesse. L'agriculture, qui représentait alors une part très importante de l'activité économique, était pour eux la seule activité productive, l'industrie et le commerce étant classés comme activités stériles, car elles ne font que transformer des matières premières produites par l'agriculture.
Dans l'école classique et dans l'école néoclassique, le facteur « terre » n'apparaît pas explicitement dans les facteurs de production. Ces écoles identifient les facteurs capital et travail. La production reposait alors de plus en plus sur les installations industrielles, capital de production que l'on peut augmenter par l'investissement, alors que l'agriculture à laquelle se référaient les physiocrates perdait de l'importance. La « terre » est alors vue comme immuable.
La terre n'est pas considérée comme facteur de production, et donc pas comme du capital.
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Les termes durabilité ou soutenabilité sont utilisés depuis les années 1990 pour désigner une configuration de la société humaine qui lui permet d'assurer sa pérennité. Une telle organisation humaine repose sur le maintien d'un environnement vivable, permettant le développement économique et social à l'échelle planétaire et, selon les points de vue, sur une organisation sociale équitable. La période de transition vers la durabilité peut se faire par le développement durable, via la transition énergétique et la transition écologique notamment.
Les écosystèmes procurent de nombreux services dits services écologiques ou services écosystémiques. Certains étant vitaux pour de nombreuses espèces ou groupes d'espèces (comme la pollinisation), ils sont généralement classés comme bien commun et/ou bien public. Les notions d'évaluation (économique et parfois marchande) de la biodiversité et des services fournis par les écosystèmes, basées sur une vision anthropocentrée de la nature, ont émergé dans les années 1970-1990 avec notamment les travaux de Westman (1977), puis de Randall (1988), Pearce & Moran en 1994 et de Perrings (1995).
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