La possibilité de vie sur la planète Mars est une hypothèse historique formulée en raison de la proximité et des similitudes entre cette planète et la Terre. Les premières investigations sérieuses à ce sujet datent du et se poursuivent aujourd'hui, notamment à l'aide des missions d'explorations in situ. Car, bien que les « Martiens » constituent un élément récurrent dans les divertissements populaires tels que le cinéma et la bande-dessinée, la présence de vie sur Mars, actuelle ou passée, reste une question ouverte.
Si la première observation des calottes polaires martiennes date du milieu du , c'est au cours de la seconde partie du que William Herschel constate la variation alternative de leur superficie sur chaque hémisphère en fonction des saisons.
Vers 1850, les astronomes ont mis en évidence certaines similitudes entre Mars et la Terre. La durée du jour est en effet sensiblement la même sur les deux planètes, tout comme l'inclinaison de l'axe de rotation qui engendre l'alternance des saisons (bien que l'année martienne soit environ deux fois plus longue que son équivalente terrestre). Ces observations conduisent à l'hypothèse que les zones sombres visibles sur Mars correspondraient à des océans, tandis que les zones plus claires seraient des continents. Il est alors naturel de supposer que Mars peut abriter certaines formes de vie. William Whewell, professeur au Trinity College de l'université de Cambridge, expose notamment cette théorie dès 1854.
Les théories concernant la vie sur Mars se multiplient à la fin du , à la suite des observations de canaux martiens — qui finalement se révéleront n'être que de simples illusions d'optique. Ainsi, en 1895, l'astronome américain Percival Lowell publie son livre Mars, suivi en 1906 par Mars et ses canaux, dans lesquels il propose l'idée que ces canaux sont le fruit d'une civilisation disparue depuis longtemps. Cette théorie est notamment reprise par l'écrivain britannique H. G. Wells dans son ouvrage La Guerre des mondes (1898), qui décrit une invasion de la Terre par des êtres venant de Mars et fuyant sa dessiccation.
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L'eau sur Mars est l'eau présente sur la planète Mars, quelle que soit la forme (solide, liquide, gazeuse, roche hydratée) sous laquelle elle s'y trouve. Le sol martien, d'après les dernières analyses, contient entre 1,5 et 3 % d'eau. Seule une petite quantité de vapeur d'eau est présente dans son atmosphère. Des preuves directes et indirectes de la présence d'eau sur ou sous la surface ont été apportées, telles que des lits de ruisseaux, les calottes polaires, des mesures spectroscopiques, des cratères érodés et des minéraux dont l'existence est liée directement à la présence d'eau liquide (tels que la goethite), de l'hématite cristalline grise, des phyllosilicates, de l'opale et des sulfates.
L’atmosphère de Mars est la couche de gaz entourant la planète Mars. La pression au sol de l'atmosphère martienne varie entre () au sommet d'Olympus Mons et () dans les profondeurs de Hellas Planitia. La pression moyenne est de ( soit , environ moins que sur Terre) et sa masse totale est estimée à ( de tonnes), soit environ moins que l'atmosphère terrestre ou encore le double de la masse combinée de ses deux satellites, Phobos et Déimos.
vignette|Le sol de Mars photographié par Viking 1 en 1975. vignette|Burns Cliff, affleurement rocheux à l'intérieur du cratère Endurance photographié par le rover MER Opportunity en 2004. vignette|Selfie de Curiosity pris en 2012dans le cratère Gale. L’exploration du système martien, qui comprend la planète Mars et ses deux satellites, tient une place particulièrement importante dans les programmes scientifiques d'exploration du Système solaire des principales puissances spatiales.
Ce cours est une introduction à la rhéologie des solides viscoélastiques linéaires, aux phénomènes d'écoulements des fluides, et aux méthodes utilisées en rhéologie. Les fluides Newtoniens ou non, la
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