Cercle vicieux (titre original : en) est une nouvelle de science-fiction d'Isaac Asimov publiée pour la première fois en dans en. C'est dans cette histoire courte que sont exposées pour la première fois les trois lois de la robotique et, selon l'auteur, la première fois qu'est mentionné le terme « robotique ».
La nouvelle est publiée pour la première fois en dans en.
La nouvelle paraît en France dans les recueils de nouvelles Les Robots (sous le titre Cycle fermé) et Nous les robots ; elle paraît aussi dans le recueil Le Grand Livre des robots (quatre éditions).
La nouvelle a été publiée dans divers pays sous les titres suivants :
Allemagne : Runaround (1952) ;
Espagne : Sentido giratorio (1956) ;
Japon : 堂々めぐり (1963) ;
Pays-Bas : Dronken Robot (1966) ;
Hongrie : Körbe-körbe (1966) ;
Roumanie : Fuga în cerc (1967) ;
Italie : Girotondo (1973) puis Circolo vizioso (2003).
La nouvelle se déroule en 2015 et met en scène Powell et Donovan, deux testeurs de robots de l'US Robots, sur la planète Mercure.
Les deux héros doivent surveiller les agissements du robot SPD-13 (surnommé « Speedy ») qui, comme tout robot, est soumis aux trois lois de la robotique. Cependant, en raison de son prix, la troisième loi (concernant l'auto-protection du robot) a été renforcée. Les problèmes commencent pour Powell et Donovan quand Speedy, qui devait ramener du sélénium à la base, ne revient pas.
Une analyse de son parcours montre qu'il tourne sans cesse autour de la mine (d'où les titres français : Cercle vicieux / Cycle fermé). Pourtant, le robot devrait être parfaitement adapté aux conditions mercuriennes. Le véritable problème est que l'approvisionnement en oxygène des deux hommes est fourni par la transformation d'éléments, transformation qui ne peut être réalisée qu'avec l'énergie du sélénium.
Les techniciens se retrouvent donc avec le problème urgent de retrouver le robot dans les 48 heures, sous peine de mourir asphyxiés. Mais les conditions régnant sur Mercure ne peuvent leur permettre de supporter la terrible chaleur sur la distance de qui les sépare de la mine de sélénium.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
L'éthique de l'intelligence artificielle est le domaine de l' propre aux robots et autres entités artificiellement intelligents. Il est généralement divisé en roboéthique, qui se préoccupe de l'éthique humaine pour guider la conception, la construction et l'utilisation des êtres artificiellement intelligents, et l', préoccupée par le comportement moral des agents moraux artificiels. Pour l'aspect philosophique de l'intelligence artificielle, voir Philosophie de l'intelligence artificielle.
Un cerveau positronique est un appareil technologique fictif, conçu à l’origine par l’auteur de science-fiction Isaac Asimov. Il tient le rôle d’unité centrale pour les robots, et, sans plus de précision, leur fournit une forme de conscience reconnaissable comme telle par les humains. Lorsqu’Asimov écrivit sa première histoire de robot en 1939-1940, la particule positron venait d’être découverte, et le néologisme « positronique », alors forgé par Asimov dans la nouvelle « Menteur ! », fut couronné de succès, grâce à la contemporanéité du terme et au lustre d'une manière de « science » vulgarisée qu'il apportait à ce concept de cerveau.
thumb|upright=1.5|Nao, un robot humanoïde. thumb|upright=1.5|Des robots industriels au travail dans une usine. La robotique est l'ensemble des techniques permettant la conception et la réalisation de machines automatiques ou de robots. L'ATILF donne la définition suivante du robot : « il effectue, grâce à un système de commande automatique à base de microprocesseur, une tâche précise pour laquelle il a été conçu dans le domaine industriel, scientifique, militaire ou domestique ».