vignette|Circé offrant la coupe à Ulysse de John William Waterhouse.
La magie est une pratique fondée sur la croyance en l'existence d'êtres, de pouvoirs et de forces occultes et surnaturels, permettant d'agir sur le monde matériel par le biais de rituels spécifiques.
Les évolutions des connaissances scientifiques dans le monde occidental chrétien depuis la période médiévale, en donnant des explications aux phénomènes naturels se sont progressivement opposées à la croyance en la magie. Cependant, selon des anthropologues comme Evans-Pritchard, qui décrit la magie chez les Azandé comme une philosophie naturelle associée à une réponse socialement appropriée et culturellement significative au problème de l'inconnu négatif, la croyance en la magie ou sorcellerie n'est pas incompatible avec une appréciation rationnelle de la nature. On peut aussi la décrire comme un ensemble d'activités et de technologies destinées à manipuler des agents et des énergies invisibles ou immatériels, non reconnus par la science.
La distinction entre les pratiques magiques non orthodoxes et les pratiques religieuses légitimes est problématique dans le cas des traditions religieuses comme le bouddhisme ou l'islam qui ne sont pas fondées sur des doctrines et des liturgies hautement codifiées, et n'encouragent donc pas les distinctions entre la prière, l'incantation ou les sortilèges dans la même mesure que le
christianisme.
Le domaine de la magie en est venu à incorporer des éléments qui, ailleurs, relèveraient de la catégorie de la religion, comme la kabbale (une tradition de la mystique juive considérée comme ésotérique et secrète), le yoga (un ensemble de doctrines spirituelles issu des religions indiennes dharmiques) ou encore le Yi-Jing (ouvrage de divination issu de la cosmologie taoïste) ; de ce fait, les approches ethnologiques contemporaines tendent à utiliser le terme de pensée magico-religieuse.
Le mot français « magie » vient du latin magia, lui-même issu du grec μαγεία (mageia), « religion des mages perses », « sorcellerie ».
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Couvre l'analyse des fermes, la définition des positions des nœuds, des matrices de connectivité et des matrices de rigidité.
La sorcellerie désigne à proprement parler l'art d'interroger le sort (hasard, destin), et par extension d'en modifier le cours. Le mot désigne plus généralement la pratique d'une certaine forme de magie, dans laquelle le sorcier travaille avec des forces surnaturelles, des entités maléfiques ou non, et parfois aussi des forces naturelles connues comme celles des plantes, des cycles lunaires, des ondes, des suggestions. Selon les lieux et les époques, la sorcellerie fut considérée avec des degrés variables de faveur ou d'hostilité, parfois avec ambivalence.
Le surnaturel est l'ensemble des phénomènes qui ne sont pas explicables par les lois de la nature, de façon rationnelle, ou bien qui sont réputés provenir d'une source divine. Le surnaturel ne peut pas être étudié par la méthode scientifique, ou par la méthode expérimentale. En l'absence d'explications, les phénomènes dits surnaturels sont parfois attribués à des interventions divines (par exemple les miracles) ou démoniaques, ou d'esprits (fantômes, possession), ou de pratiques .
vignette|Jan van der Straet - Le laboratoire de l'alchimiste (1551). L’alchimie est une discipline qui peut se définir comme « un ensemble de pratiques et de spéculations en rapport avec la transmutation des métaux ». L'un des objectifs de l'alchimie est le grand œuvre, c'est-à-dire la réalisation de la pierre philosophale permettant la transmutation des métaux, principalement des métaux « vils », comme le plomb, en métaux nobles comme l'argent ou l'or. Cet objectif se fonde sur la théorie que les métaux sont des corps composés (souvent de soufre et de mercure).
In this Letter we address the reentrance of magic-angle phenomena (band flatness and quantum-geometric transport) in twisted bilayer graphene (TBG) subjected to strong magnetic fluxes +/-(1)0, +/- 200, +/- 3(p0 ... ((D0 = h/e is the flux quantum per moire ...