In the history of cryptography, the "System 97 Typewriter for European Characters" (九七式欧文印字機 kyūnana-shiki ōbun injiki) or "Type B Cipher Machine", codenamed Purple by the United States, was an encryption machine used by the Japanese Foreign Office from February 1939 to the end of World War II. The machine was an electromechanical device that used stepping-switches to encrypt the most sensitive diplomatic traffic. All messages were written in the 26-letter English alphabet, which was commonly used for telegraphy. Any Japanese text had to be transliterated or coded. The 26-letters were separated using a plug board into two groups, of six and twenty letters respectively. The letters in the sixes group were scrambled using a 6 × 25 substitution table, while letters in the twenties group were more thoroughly scrambled using three successive 20 × 25 substitution tables.
The cipher codenamed "Purple" replaced the Type A Red machine previously used by the Japanese Foreign Office. The sixes and twenties division was familiar to U.S. Army Signals Intelligence Service (SIS) cryptographers from their work on the Type A cipher and it allowed them to make early progress on the sixes portion of messages. The twenties cipher proved much more difficult, but a breakthrough in September 1940 allowed the Army cryptographers to construct a machine that duplicated the behavior (was an analog) of the Japanese machines, even though no one in the U.S. had any description of one.
The Japanese also used stepping-switches in systems, codenamed Coral and Jade, that did not divide their alphabets. American forces referred to information gained from decryptions as Magic.
The Imperial Japanese Navy did not cooperate with the Army in pre-war cipher machine development, and that lack of cooperation continued into World War II. The Navy believed the Purple machine was sufficiently difficult to break that it did not attempt to revise it to improve security. This seems to have been on the advice of a mathematician, Teiji Takagi, who lacked a background in cryptanalysis.
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Cet article résume l’histoire de la cryptologie de l’Antiquité à aujourd'hui. La cryptologie regroupe à la fois la cryptographie, associée aux techniques de chiffrement d’un message clair, et la cryptanalyse qui concerne l’analyse et le déchiffrement du message codé. Le premier « document » chiffré connu remonte à l'Antiquité. Il s'agit d'une tablette d'argile, retrouvée en Irak, et datant du Un potier y avait gravé sa recette secrète en supprimant des consonnes et en modifiant l'orthographe des mots.
La rétro-ingénierie, ou ingénierie inversée, est l'activité qui consiste à étudier un pour en déterminer le fonctionnement interne. On parle également de rétro-conception dans le domaine du vivant. Le terme équivalent en anglais est reverse engineering. vignette|La rétro-ingénierie. Il peut s'agir de : comprendre le fonctionnement de l'objet, pour être en mesure de l'utiliser correctement, de le modifier, ou encore de s'assurer de son bon fonctionnement, le cas échéant dans un cadre pédagogique rappellent C.
Ultra était le nom donné durant la Seconde Guerre mondiale par les Britanniques aux renseignements d'origine électromagnétique obtenus en décryptant les transmissions ennemies par radio et téléscripteurs. « Ultra » devint par la suite la désignation standardisée parmi les Alliés occidentaux pour tous les renseignements de ce type. Le nom fut créé parce que les renseignements de ce genre étaient considérés comme encore plus sensibles que ceux classés most secret (« très secret », ou top secret pour les Américains), et ils étaient donc considérés comme « ultra secret ».