vignette|Trois enfants lisant un livre ensemble dans un village du Népal.
Le droit à l'éducation est le droit d'être éduqué, d'avoir accès à la connaissance et lui permettre de s’épanouir. On peut le trouver sur divers traités nationaux et internationaux sous la forme de conventions de pactes et de chartes, tels que la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 ou encore la Convention relative aux droits de l'enfant en 1989.
Tout être humain a le droit d'apprendre à écrire et à lire et, grâce aux connaissances transmises par l'éducation, à s'épanouir dans sa vie d'adulte, et à acquérir un développement moral et citoyen au sein de la société. L'éducation de l'enfant permet aussi le développement social, économique et culturel d'une société.
Les Nations unies et plus précisément l’Unesco ont établi « l’Agenda Education 2030 » focalisée sur l’implémentation de l’objectif de développement durable 4 (SDG4) pour l’éducation. Cet agenda comporte plusieurs thèmes dont font partie la scolarité obligatoire ou l’accès à l’éducation des jeunes enfants.
Le droit à l’éducation a besoin de trois protagonistes clés :
Le Gouvernement : Prestataire et/ou partenaire financier à l'enseignement public.
L'enfant : Principal bénéficiaire du droit à l'éducation. Il doit s’engager à suivre l'enseignement obligatoire.
Les parents de l'enfant : Ce sont les premiers éducateurs. Ils ont la liberté de choisir quel type d'enseignement est dispensé à leurs enfants, ce qui constitue un des piliers du droit à l'éducation bien que l'obligation de l’État dans le domaine des droits de l'homme en soit un autre. Cependant, les parents n'ont pas le droit de refuser à leurs enfants le droit à l'éducation, car ce choix n'est pas légitime. En cas de conflit entre le choix parental et l'intérêt supérieur de l'enfant, ce dernier a l'avantage. C'est pour empêcher l’État d'exercer un monopole sur l'éducation de l'enfant et pour protéger le pluralisme que la liberté du choix de l'éducation revient aux parents.
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La Convention relative aux droits des personnes handicapées - connue également sous le nom de Convention internationale des droits des personnes handicapées (CIDPH) - est une convention internationale pour la dignité, l'égalité devant la loi, les droits humains et les libertés fondamentales des personnes avec des handicaps en tous genres. L’objectif est la pleine jouissance des droits humains fondamentaux par les personnes handicapées et leur participation active à la vie politique, économique, sociale et culturelle.
thumb|La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, une des premières consécration juridiques de droits fondamentaux. Les (parfois libertés fondamentales) sont un ensemble de droits et libertés ayant un caractère essentiel pour l'individu ; ils sont en principe assurés dans un État de droit et une démocratie. Ils comprennent . Dans la doctrine juridique, le concept est relativement récent et il existe plusieurs façons d'appréhender la « fondamentalité » d'un droit ou d'une liberté.
La gratuité scolaire, ou éducation gratuite, est une politique menée par un État afin d'assurer l'accès à l'éducation sans frais. Cette mesure peut s'appliquer à différents niveaux scolaires ou être intégrale. thumb|300px|États ayant ratifié (vert foncé) ou seulement signé (vert clair) le PIDESC. La gratuité intégrale est un des objectifs des états signataires du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC), entrée en vigueur le , permettant la réalisation du droit à l'éducation, qui est « à la fois un droit fondamental en soi et une des clefs de l’exercice des autres droits inhérents à la personne humaine.
Much recent sociological work on education makes reference to gender, sexual, ethnic, local and political ‘project’ identities, yet there remains a need to bring the nation, and the state, back in; to also question the way in which ‘national’ identities ar ...