Marattiaceae is the only family of extant (living) ferns in the order Marattiales. In the Pteridophyte Phylogeny Group classification of 2016 (PPG I), Marattiales is the only order in the subclass Marattiidae. The family has six genera and about 110 species. Many are different in appearance from other ferns, having large fronds and fleshy rootstocks.
The Marattiaceae diverged from other ferns very early in their evolutionary history and are quite different from many plants familiar to people in temperate zones. Many of them have massive, fleshy rootstocks and the largest known fronds of any fern. The Marattiaceae is one of two groups of ferns traditionally known as eusporangiate ferns, meaning that the sporangium is formed from a group of cells as opposed to a leptosporangium in which there is a single initial cell.
The large fronds characteristic of the group are most readily found in the genus Angiopteris, native to Australasia, Madagascar and Oceania. These fronds may be up to 9 meters long in the species Angiopteris teysmanniana of Java. In Jamaica the species Angiopteris evecta is widely naturalized and is registered as an invasive species. The plant was introduced by Captain Bligh from Tahiti as a staple food for slaves and cultivated in the Castleton Botanical Garden in 1860. From there it was able to distribute itself throughout the eastern half of the island.
Marattia in the strict sense is found in the neotropics and Hawaii. The genus Eupodium is also neotropical, with three species. It has fronds that are 2-5 times pinnate, distinctive stalked synangia, and awns on distal blade segments. Blade division decreases towards the apex of the frond. Plants of Eupodium usually only have one frond per plant per year (sometimes two).
Ptisana is a paleotropical genus. These plants are 2-4 times pinnate, with fronds often comparable in size to those found in Angiopteris. Terminal segments usually have a prominent suture where they attach. The sporangia lack the labiate apertures of Marattia and Eupodium, and synangia are deeply cut.
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Les Ptéridophytes sont des plantes vasculaires (présentant xylème et phloème) ne produisant ni fleurs ni graines. Ce sont donc des cryptogames vasculaires. Le groupe des Ptéridophytes est très étendu et a été introduit en systématique en tant que division des (parfois sous-division des ) dans le règne végétal (Plantae), au début de la phylogénie phénétique (par comparaison d'un nombre limité d’analogies de caractères morphologiques) dès le , pour distinguer, parmi les cormophytes, les espèces dites plus « archaïques » de l’autre groupement encore plus important des cormophytes dites « évoluées », alors nommées anthophytes (ce deuxième groupement des plantes à graines comprenait les deux groupes des Gymnospermes et des Angiospermes distingués depuis l’Antiquité).
Les Trachéophytes (du grec Trakheia, conduit raboteux) ou Trachéobiontes (Tracheobionta), appelées aussi plantes vasculaires associent différentes divisions : les Lycophytes (Lycopodes et Sélaginelles) ; les Monilophytes (Fougères et Prêles) ; les Gymnospermes (Conifères, Cycas, Gingko, etc.) ; les Angiospermes (plantes à fleurs). Les caractères principaux sont l'existence de racines et la présence de vaisseaux conducteurs (phloème et xylème contenant des trachéides, d'où le nom de Tracheophyta) assurant la circulation de la sève.
Les Fougères ou Filicophytes (Filicophyta) sont une sous-division de cryptogames vasculaires. Elles comportent environ , le plus grand embranchement végétal après les Angiospermes. On rencontre environ les trois quarts des espèces dans les régions tropicales et une bonne proportion de ces fougères tropicales est épiphyte. Leurs modes de reproduction les confinent dans les milieux humides.