Les signes du zodiaque sont traditionnellement au nombre de 12. Ils résultent de la division en douze parties du cercle (l'écliptique, qui passe au milieu du zodiaque) qui sépare en deux moitiés égales la ceinture dans laquelle, à nos yeux de Terriens, les planètes du système solaire effectuent leur course apparente autour de notre planète. Le zodiaque formant une bande de ciel circulaire de 360° entourant la Terre, chacun des douze signes traditionnels occupe un secteur angulaire de 30°. Ce sont, dans l'ordre, le Bélier, le Taureau, les Gémeaux, le Cancer, le Lion, la Vierge, la Balance, le Scorpion, le Sagittaire, le Capricorne, le Verseau et les Poissons.
Selon les croyances superstitieuses de l'astrologie, les signes du zodiaque sont censés correspondre à des types de personnalité caractéristiques.
Dans ce qu'on appelle l'astrologie tropicale (l'astrologie des journaux), les signes du zodiaque sont douze secteurs du cercle de l'écliptique de 30° de longitude chacun comptés à partir du point vernal. Lorsque le Soleil traverse un de ces secteurs, on dit que la personne est née sous le Signe en question. Ainsi, être né sous le signe du Bélier, c'est (selon l'astrologie tropicale) être né entre le et le , quand le Soleil se situe entre 0° et 30° sur le cerclé des signes (l'écliptique). Ce cercle est celui qui passe au milieu du zodiaque, qui n'est autre que la route des planètes du système solaire vues depuis la Terre autour de cette dernière.
L'astrologie sidérale, contrairement à l'astrologie tropicale classique et fixe, repère les signes du zodiaque par rapport aux constellations d'étoiles. Pour cette forme d'astrologie, il est nécessaire de tenir compte de l'effet de la précession des équinoxes, qui fait dériver le point vernal d'un degré tous les 72 ans (et donc, décale sensiblement le calendrier lié aux étoiles d'un jour tous les 72 ans). Ce changement progressif conduit à un cycle de , à l'issue duquel les constellations retrouvent leur place initiale (au mouvement propre des étoiles près).