Proof of space

Proof of space (PoS) is a type of consensus algorithm achieved by demonstrating one's legitimate interest in a service (such as sending an email) by allocating a non-trivial amount of memory or disk space to solve a challenge presented by the service provider. The concept was formulated in 2013 by Dziembowski et al. and (with a different formulation) by Ateniese et al.. Proofs of space are very similar to proofs of work (PoW), except that instead of computation, storage is used to earn cryptocurrency. Proof-of-space is different from memory-hard functions in that the bottleneck is not in the number of memory access events, but in the amount of memory required. After the release of Bitcoin, alternatives to its PoW mining mechanism were researched, and PoS was studied in the context of cryptocurrencies. Proofs of space are seen as a fairer and greener alternative by blockchain enthusiasts due to the general-purpose nature of storage and the lower energy cost required by storage. In 2014, Signum (formerly Burstcoin) became the first practical implementation of a PoS (initially as proof of capacity) blockchain technology and is still actively developed. Other than Signum, several theoretical and practical implementations of PoS have been released and discussed, such as SpaceMint and Chia, but some were criticized for increasing demand and shortening the life of storage devices due to greater disc reading requirements than Signum. A proof-of-space is a piece of data that a prover sends to a verifier to prove that the prover has reserved a certain amount of space. For practicality, the verification process needs to be efficient, namely, consume a small amount of space and time. For security, it should be hard for the prover to pass the verification if it does not actually reserve the claimed amount of space. One way of implementing PoS is by using hard-to-pebble graphs. The verifier asks the prover to build a labeling of a hard-to-pebble graph. The prover commits to the labeling.

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