Perte de la biodiversitévignette|redresse=1.5|Selon le Rapport planète vivante 2016 de WWF, l'indice planète vivante affiche un déclin de 58 % des populations mondiales de vertébrés entre 1970 et 2012. La perte de la biodiversité, appelée aussi déclin de la biodiversité ou érosion de la biodiversité ou effondrement de la biodiversité, est une crise écologique qui implique l'extinction d'espèces (végétales ou animales) dans le monde entier, ainsi que la réduction ou la perte locale d'espèces dans un habitat donné, et la disparition d'écosystèmes.
Limites planétairesvignette|Les limites planétaires et leur dépassement en 2022. Le cercle en pointillés représente l'estimation des limites de durabilité et les zones colorées l'estimation de leur état fin 2022, la couleur orange représentant un dépassement. Les neuf limites planétaires sont, dans le sens antihoraire et en partant du haut : (1) Changement climatique ; (2) Érosion de la biodiversité ; (3) Modifications des usages des sols ; (4) Pollution chimique (nouvelles entités) ; (5) Perturbation des cycles biochimiques de l'azote et du phosphore ; (6) Acidification des océans ; (7) Aérosols atmosphériques; (8) Diminution de la couche d’ozone ; (9) Utilisation d’eau douce.
Freshwater ecosystemFreshwater ecosystems are a subset of Earth's aquatic ecosystems. They include lakes, ponds, rivers, streams, springs, bogs, and wetlands. They can be contrasted with marine ecosystems, which have a larger salt content. Freshwater habitats can be classified by different factors, including temperature, light penetration, nutrients, and vegetation. There are three basic types of freshwater ecosystems: Lentic (slow moving water, including pools, ponds, and lakes), lotic (faster moving water, for example streams and rivers) and wetlands (areas where the soil is saturated or inundated for at least part of the time).
Trame verteLa trame verte (ou en France Trame verte et bleue) est un concept qui, dans les pays francophones, date des années 1980-1990. Il est en partie issu des travaux préparatoires au sommet de la Terre de Rio (1992), de l'écologie du paysage et du projet de réseau écologique paneuropéen alors préparé par le Conseil de l'Europe. Pour les années 1990 à 2005, cette expression couvre des réalités diverses, selon l'époque, le pays ou le domaine considérés (urbanisme, paysage, environnement, écologie urbaine et autres projets de collectivités locales, etc.
Élévation du niveau de la merL' est un phénomène observable au niveau mondial depuis le début du , qui résulte du réchauffement climatique. Le niveau moyen des océans augmente de entre 1901 et 2018, la moitié de cette hausse étant observée après 1980. Le rythme annuel, en 2020, est estimé à plus de par an. Les mesures sont effectuées principalement par deux moyens : les marégraphes, installations fixes à terre, et l'altimétrie satellitaire. Le niveau des océans est lié au climat et plus précisément à la température moyenne à la surface de la Terre.
Service écosystémiqueLes écosystèmes procurent de nombreux services dits services écologiques ou services écosystémiques. Certains étant vitaux pour de nombreuses espèces ou groupes d'espèces (comme la pollinisation), ils sont généralement classés comme bien commun et/ou bien public. Les notions d'évaluation (économique et parfois marchande) de la biodiversité et des services fournis par les écosystèmes, basées sur une vision anthropocentrée de la nature, ont émergé dans les années 1970-1990 avec notamment les travaux de Westman (1977), puis de Randall (1988), Pearce & Moran en 1994 et de Perrings (1995).