Alphabet arménienL’alphabet arménien est l’alphabet utilisé pour écrire l’arménien. L'alphabet arménien compte trente-huit caractères (trente-six à l'origine, trente-huit dès le ). Comme l'alphabet grec duquel il serait en partie inspiré, il fait partie des écritures bicamérales (il possède des minuscules et des capitales). L'arménien fait partie des langues indo-européennes. Il est parlé en Arménie et par les communautés arméniennes du monde entier ; on distingue l'arménien oriental, celui généralement parlé en Arménie, et l'arménien occidental, qui est en déclin.
SourethLe néo-araméen du Nord-Est ou soureth (en ܣܘܪܬ), est un dialecte de l'araméen. C’est une langue sémitique parlée aujourd’hui par les communautés chrétiennes et ethniques assyrienne-chaldéenne-syriaques d’Irak, d’Iran, de Syrie et du sud-est de la Turquie. Il reste également parlé par les Juifs originaires de la plaine de Ninive et du Kurdistan irakien qui ont émigré en Israël entre 1949 et 1952. Le nombre de ses locuteurs, dans ces régions et dans le monde entier, varie, selon les estimations, entre et deux millions de personnes.
Abjad manichéenl'écriture manichéenne est un abjad (alphabet consonantique) utilisé principalement dans la religion manichéenne, une des religions de l'Empire perse, l'empire kouchan et la principale religion du khaganat ouïghour et du Royaume ouïghour de Qocho. La fonte Noto Sans Manichaean des polices Noto (généralement paquet noto-fonts sous Linux) comporte ces caractères. Cette écriture est comprise dans le bloc Manichaean de U+10AC0 à U+10AFF depuis la version 7 d'Unicode publiée en juillet 2014. manichéen manichéen
BegadkefatBegadkefat, en hébreu , est un terme mnémotechnique et le nom donné à un phénomène de lénition affectant les consonnes occlusives non emphatiques de l'hébreu biblique et de l'araméen lorsqu'elles sont précédées d'une voyelle et non géminées. Le phénomène est attribué aux consonnes allophoniques suivantes : Le nom du phénomène est composé de ces six consonnes, mêlées de voyelles au hasard pour la prononciation : BeGaDKePaT. Le terme hébreu désigne les lettres elles-mêmes plutôt que le phénomène de spirantisation.
Character (symbol)A character is a semiotic sign or symbol, or a glyph - typically a letter, a numerical digit, an ideogram, a hieroglyph, a punctuation mark or another typographic mark. The Ancient Greek word χαρακτήρ ('charaktēr') is an agent noun of the verb χαράσσω (charassō) with a meaning "to sharpen, to whet", and also "to make cake", from a PIE root "cut" also continued in Irish gearr and English gash, which is perhaps an early loan ultimately from the same Greek root.
GereshGeresh (׳ in Hebrew: or Even-Shoshan Dictionary, 2003; Shoshana Bahat and Mordechay Mishor, Dictionary of Contemporary Hebrew, 2007. ˈɡeʁeʃ, or medieval ˈɡeːɾeːʃ) is a sign in Hebrew writing. It has two meanings. An apostrophe-like sign (also known colloquially as a chupchik) placed after a letter: as a diacritic that modifies the pronunciation of some letters (only in modern Hebrew), as a diacritic that signifies Yiddish origin of a word or suffix, (examples below) as a punctuation mark to denote initialisms or abbreviations, or to denote a single-digit Hebrew numeral A note of cantillation in the reading of the Torah and other Biblical books, taking the form of a curved diagonal stroke placed above a letter.
Noto (police d'écriture)Les polices Noto sont une famille de polices de caractères libres publiée par Google depuis 2012 sous la licence Apache 2.0. Elles couvrent une grande partie des caractères Unicode et ont pour objectif de couvrir leur totalité. Plusieurs des polices sont développées par Monotype Imaging, les polices latines Noto Sans et Noto Serif sont basées sur les polices de caractères Droid Sans ou Open Sans, et Droid Serif de sa filiale Ascender Corporation.
Consonne emphatiqueUne consonne emphatique est un type de consonnes propres aux langues sémitiques, dotées d'une articulation particulière appelée « emphase ». L'emphase peut se manifester par une vélarisation ou par une pharyngalisation, comme en arabe, ou par une glottalisation (réalisant une consonne éjective), comme en amharique. On continue de parler de consonnes emphatiques en hébreu ou en araméen modernes pour des consonnes qui ont eu historiquement ces propriétés, même si l'emphase a maintenant disparu dans la prononciation.