Ormont-Dessous

Ormont-Dessous est une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district d'Aigle. Elle regroupe les localités suivantes : Le Sépey, Cergnat, La Forclaz, La Comballaz, Les Voëttes et Les Mosses. vignette|gauche|Vue aérienne par Walter Mittelholzer (1919). Le territoire d'Ormont-Dessous s'étend sur . Lors du relevé de , les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient de sa superficie, les surfaces agricoles , les surfaces boisées et les surfaces improductives . La commune, dont le Mont d'Or est le point central, est entourée du Pic Chaussy (2351 m) et du Chamossaire (2116 m). Une partie du lac de l'Hongrin se trouve sur son territoire. Ormont-Dessous est traversée par la Grande Eau dont la source se situe sur la commune d'Ormont-Dessus. Sur la commune se situe aussi le glissement de terrain La Frasse. La commune d'Ormont-Dessous est desservie tous les jours par les lignes de bus CarPostal Le Sepey - Leysin, Le Sepey - La Forclaz, Le Sepey - Col des Mosses, et la ligne de train ASD des TPC. Ormont-Dessous est mentionnée en 1564 sous le nom de Bas-Ormont. Son ancien nom allemand est Ormund. Les plus anciens habitats permanents sont situés au Sépey, à La Forclaz et à Cergnat où se dresse l'église paroissiale dédiée à saint Maurice (attestée en 1279). Au début du , Aymon de Pontverre édifia un château sur le promontoire d'Aigremont, château détruit en 1475 après être passé en 1425 aux Gruyère (cf. Antoine). Sous l'Ancien Régime, Ormont-Dessous, intégré au mandement des Ormonts du gouvernement d'Aigle (1475-1798), put conserver son droit coutumier, mis par écrit à partir de 1674. La commune était partagée en quatre unités administratives appelées seytes : Le Sépey, Cergnat, La Forclaz et Les Voëttes. La montagne de Perche, que la jeunesse de La Forclaz avait reçue vers 1400, fut exploitée en consortage jusqu'en 1974. Une première auberge ouvrit en 1840 ; une amorce de tourisme thermal se développa à La Comballaz vers 1860. Le tourisme d'hiver se développa aux Mosses avec une « funiluge » en 1938 et un téléski en 1951.

Hanoi, une ville en mouvement - un pôle d'échange multimodal à Long Bien (Vietnam)

Raphaël Cyril Chatelet, Ngoc Quyen Nguyen

Hanoi est une ville agitée et dynamique, actuellement en pleine mutation. Partant d'une volonté de modernisation, un ambitieux projet de réseau de métro a vu le jour. En effet, la ville millénaire est prise en otage par un trafic engorgé. Dans ce contexte, notre intervention se situe sur un nœud stratégique dans le système de mobilité. Le site de Long Bien est localisé aux limites du centre-ville et à proximité du fleuve Rouge. Ce lieu se caractérise par un vide urbain, en contraste avec la densité élevée des constructions, ainsi que par le pont symbolique de Long Bien. D'après les planifications, deux lignes se connecteront à cet endroit, une aérienne, l'autre souterraine. Notre proposition consiste à mettre en scène la mobilité par un pôle d'échange multimodal. Dans un premier temps, une plateforme permet de réunir les différents types de transport et offre aux habitants un espace public généreux et accueillant. Ensuite, la disposition des stations de métro, avec l'emprise du viaduc et du pont, s'allient pour composer un paysage infrastructurel. L'emplacement des arrêts valorise le pont ancien et active l'ensemble de la plateforme. Le concept du “dessus-dessous” met en rapport le sol et les toitures des stations pour générer des espaces ouverts et favoriser le contact visuel entre les éléments du site. L'expression architecturale des couverts s'identifie aux toitures traditionnelles asiatiques et leur caractère structurel s'inspire de celle du pont métallique.

2014

Choix modal et répartition modale en Suisse: quelques chiffres pour stimuler le débat

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Laisser émerger le dessus dessous

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