L’atmosphère stellaire est la région extérieure au volume d'une étoile, qui repose au-dessus du cœur solaire, de la zone de radiation et de la zone de convection. Dit autrement, on considère comme faisant partie de l'atmosphère toutes les couches au-dessus de la photosphère, la base de celle-ci étant la surface pour laquelle la profondeur optique est telle qu'une fraction importante d'un rayonnement monochromatique est absorbé sur une échelle caractéristique.
redresse=1.2|vignette|Structure du Soleil en coupe.
L'atmosphère stellaire est divisée en régions aux caractéristiques variées.
La photosphère est la zone du Soleil que nous voyons. Elle est la partie la plus froide de l'atmosphère d'une étoile. La lumière qui s'échappe de la surface de l'étoile provient de cette région en traversant les couches supérieures. La photosphère du Soleil a une température (température effective) d'environ . Les taches solaires sont des régions froides associées à un champ magnétique perturbé, reposant sur la photosphère.
Au-dessus de la photosphère se trouve la chromosphère. Cette partie de l'atmosphère de l'étoile se refroidit d'abord, pour ensuite s'échauffer jusqu'à dix fois la température de la photosphère.
Au-dessus de la chromosphère repose une région solaire transitoire, où la température augmente rapidement sur une distance de seulement .
Au-delà de cette région se trouve la couche externe de l'atmosphère solaire, la couronne solaire, un plasma ténu mais extrêmement chaud (des millions de kelvins). Alors que toutes les étoiles de la séquence principale ont une couronne et une région stellaire transitoire, certaines évolutions possibles des étoiles en sont dépourvues. Il semble que seules quelques géantes et très peu de supergéantes possèdent une couronne. Les mécanismes astrophysiques qui portent à de telles températures les couronnes stellaires ne sont pas précisément connus, mais ils sont liés au champ magnétique de l'étoile.
Durant une éclipse solaire totale, la photosphère du Soleil est masquée (par la Lune), révélant les autres couches de l'atmosphère solaire.
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Ce cours est une introduction à la physique stellaire. On y expose les notions indispensables à la compréhension du fonctionnement d'une étoile et à la construction de modèles de structure interne et
La température effective d'un corps ou d'un objet est une grandeur homogène à une température que l'on calcule à partir d'autres grandeurs, et qui serait sa véritable température s'il vérifiait certaines hypothèses. La température effective caractérise le stress thermique. Elle est déterminée, généralement à l'aide d'un nomogramme, à partir de la température donnée par un thermomètre à réservoir humide, de celle donnée par un thermomètre à réservoir sec, et de la vitesse du vent.
vignette|upright=1.5|Représentation schématique de l'héliosphère, depuis le système solaire jusqu'à l'espace interstellaire (vue d'artiste). vignette|upright=1.5|Schéma simplifié de l'héliosphère, montrant la position approximative des sondes et 2 en 2005 (NB : l'hypothèse de l'onde de choc au-delà de l'héliopause est aujourd'hui abandonnée). L'héliosphère est l'astrosphère du Soleil, une zone en forme de bulle allongée dans l'espace, engendrée par les vents solaires.
L’atmosphère stellaire est la région extérieure au volume d'une étoile, qui repose au-dessus du cœur solaire, de la zone de radiation et de la zone de convection. Dit autrement, on considère comme faisant partie de l'atmosphère toutes les couches au-dessus de la photosphère, la base de celle-ci étant la surface pour laquelle la profondeur optique est telle qu'une fraction importante d'un rayonnement monochromatique est absorbé sur une échelle caractéristique. redresse=1.2|vignette|Structure du Soleil en coupe.