Les chrétiens au Maroc constituent environ 0,1 % de la population totale du pays qui est de en . La plupart d'entre eux sont catholiques ou protestants, plus rarement évangéliques. Les Chrétiens au Maroc sont majoritairement étrangers (Espagnols, Français, Maltais, et Italiens).
L'Article 3 de la Constitution marocaine « garantit à tous le libre exercice des cultes » , mais le code pénal marocain interdit les conversions à d'autres religions que l'islam. Les conversions de musulmans au christianisme (soit de prosélytisme ou d'apostasie) étaient le plus souvent effectuées en période coloniale car les lois contre de telles conversions n'existaient pas encore.
Selon l'article 220 du Code pénal marocain, quiconque utilise des moyens incitant à « ébranler la foi d'un musulman ou de le convertir à une autre religion » encourt une peine d'emprisonnement de 3 à 6 mois et d'une amende de à (115 à 575 dirhams). Toute incitation à la conversion d'un musulman est illégale : prosélytisme non-musulman, apostasie dans l'islam.
Le christianisme au Maghreb apparaît à l'époque romaine (commerce, administration, armée) : liste de saints chrétiens d'Afrique du Nord, littérature latine d'Afrique romaine.
Il est au Maroc surtout pratiqué par les Berbères chrétiens.
Après la conquête arabo-musulmane de la fin du , il met environ quatre siècles pour quasiment disparaître.
Selon la tradition, les martyres de Marcel le Centurion (Saint Marcel) et de Cassien de Tingis se sont déroulés en 298 à Tingis (Tanger).
Depuis la réforme de l'empereur romain Dioclétien, des structures gouvernementales en 296, la Tétrarchie, la Maurétanie tingitane devient une partie du diocèse des Hispaniae (littéralement des Espagnes) et par conséquent, entrant dans la préfecture du prétoire des Gaules (la Maurétanie césarienne étant dans le diocèse d'Afrique, dans l'autre préfecture prétorienne au sein de l'empire d'Occident), et le reste jusqu'à sa conquête par les Vandales. Lucilius Constance est enregistré en tant que gouverneur (praeses) dans le milieu à la fin du .
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vignette|Détail sur un mur de l'ancien quartier juif de Mogador Lhistoire des Juifs au Maroc est très ancienne et fut nourrie par diverses vagues de réfugiés à la suite des vicissitudes et persécutions dont ont été victimes les Juifs au cours de l’histoire. La présence juive au Maroc est attestée dès le , notamment à Volubilis à l'époque romaine, et y reste présente jusqu'au , renforcée par l'arrivée de migrants juifs d'Espagne ayant fui les persécutions wisigothes du .
Tétouan (تطوان, (Tetwan) ; ⵜⵉⵟⵟⴰⵡⵉⵏ, (Tiṭṭawin)) est une ville du Maroc, située dans le nord du pays, dans le Rif occidental, aussi appelé pays Jbala. La ville est située à environ au sud-est de la ville de Tanger et à proximité du détroit de Gibraltar, dans une vallée (la cluse de Tétouan) creusée par l'oued Mhannech dans les montagnes de la chaîne calcaire du Rif au nord et au sud. Tétouan est considérée comme « la ville la plus andalouse du Maroc ».
Rabat (en arabe : ar, ar-Ribāṭ ; en amazighe : ber, Ṛṛbaṭ ; en arabe marocain : ar, er-Rbaṭ) est la capitale du Maroc. La ville est située au bord de l'Atlantique au nord-ouest du Maroc, à au sud de Kénitra et au sud-ouest de Tanger et du détroit de Gibraltar, et à au nord-est de Casablanca. Elle est séparée de la ville de Salé au niveau de l'embouchure du Bouregreg, d'où leur surnom de « villes jumelles ».
Studies on urban environmental quality are evolving emphasizing the need for policy response concerning the enactment of environmental regulations to attain sustainable development goals (SDGs), mainly target 13. Over the years, the concerns to improve urb ...