Maître (droit) | EPFL Graph Search

« Maître » est le prédicat honorifique qui est éventuellement accordé aux personnes exerçant certaines professions juridiques. Son abréviation est (par exemple : ) ; au pluriel, . En France, il y a plusieurs professions juridiques qui peuvent porter le prédicat de maître : les notaires, les avocats, les huissiers de justice, les commissaires-priseurs judiciaires (tous deux devenus commissaires de justice) les avocats aux conseils, les greffiers de tribunaux de commerce, les administrateurs judiciaires, les mandataires et liquidateurs judiciaires, et il y a peu, les avoués (profession supprimée en France). Ces juristes perdent le prédicat de civilité commun (Monsieur, Madame) tout au long de leur exercice, exception faite en justice, devant les tribunaux, lorsqu'ils ne comparaissent pas dans l’exercice de leur fonction. Avant la nomination du juriste, son prédicat est madame ou monsieur. Pendant son exercice : maître. À la cessation de son activité, il reprend son prédicat d’avant sa nomination. Il ne pourra se refaire appeler maître que s’il a reçu l’honorariat par ses pairs. Au Québec, seuls les avocats et notaires peuvent se faire appeler maître. Le juriste doit être membre du barreau ou de la Chambre des notaires pour utiliser l'appellation. En Suisse romande, dans l'usage, les titulaires du brevet d'avocat, inscrits ou non au barreau, peuvent se faire appeler maître dans la correspondance. page d’homonymie Maître Eolas, « Où mettre le Maître, ou de l’étiquette de Barreau », .

Étude géotechnique et géothermique d’une tranchée couverte en site urbain

Nicolas Delessert

Ce rapport a pour but de présenter les variantes de réalisation choisies pour deux galeries du projet mené par les Transports Publics du Chablais en tant que maître d’ouvrage sur la ligne de l’AOMC dans les communes de Collombey-Muraz et de Monthey. Il a aussi comme objectif de préciser les méthodes de calcul choisies et de les justifier. Dans un deuxième temps, le rapport apporte également une idée d’une possible organisation des installations de chantier, ainsi qu’une estimation du planning de réalisation de ces ouvrages. La situation du projet, les contraintes relatives et les attentes du maître d’ouvrage sont traitées dans la convention d’utilisation des ouvrages ainsi que dans le rapport de pré-étude (documents joints à ce rapport). Bref rappel de la situation du projet : Il est question de la construction de deux galeries en tranchées couvertes sur les communes de Collombey-Muraz et de Monthey traversant des zones fortement urbanisées. Ces deux galeries ont fait l’objet d’une étude de leur potentiel géothermique réciproque ainsi que des possibilités de valorisation de cette énergie thermique. Pour identifier clairement les galeries pour la suite du rapport, la galerie « aval » située dans la plaine et qui touche les deux communes de Collombey-Muraz et de Monthey sera appelée la galerie du « Corbier », alors que la galerie montant en direction de la vallée de Champéry sera elle appelée la galerie « Manor ». En ce qui concerne les conditions hydrauliques de la nappe phréatique, les deux galeries sont relativement différentes car, dans le cas de la galerie du Corbier la nappe phréatique se trouve à seulement quelques mètres sous le niveau du sol alors que, pour la galerie Manor, elle se trouve à 7m ou plus sous le niveau naturel du sol. La première partie du rapport sera séparée en deux, traitant d’une part la géotechnique et la géothermie de la galerie du Corbier et d’autre part celles de la galerie Manor. La deuxième partie du rapport traitera les installations de chantier et le planning de réalisation.

2018

Étude géotechnique et géothermique d’une tranchée couverte en site urbain

Nicolas Delessert

2018