Omaha Beach est l'appellation utilisée par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale pour désigner l'une des cinq plages du débarquement de Normandie. Affectée aux troupes américaines, elle est celle où les Alliés perdirent le plus de troupes, ce qui lui a valu le surnom de (« Omaha la sanglante »).
Longue de huit kilomètres, la zone de débarquement s'étend sur la côte occidentale du Calvados, depuis Sainte-Honorine-des-Pertes à l'est jusqu'à Vierville-sur-Mer à l'ouest, sur la rive droite de l'estuaire de la Douve. L'objectif à Omaha est de s'emparer et, ensuite, de tenir une tête de pont de huit kilomètres de profondeur entre Port-en-Bessin et la Vire et, dès que possible, de faire la jonction à l'est avec les Britanniques et à l'ouest avec le Corps américain débarqué à Utah Beach afin d'établir une tête de pont continue sur la côte normande.
La prise d'Omaha est de la responsabilité du commandement américain, placé sous les ordres du général Omar Bradley, et du major général Huebner pour la partie opérationnelle. Elle engage des troupes de l'US Army, des transports maritimes fournis par l'US Navy et des éléments de la Royal Navy.
La section du mur de l’Atlantique face aux assaillants est défendue par environ provenant de deux divisions d'infanterie allemande : la 716 et la 352.
De multiples obstacles sont installés sur la plage pour interdire tout débarquement. Ces obstacles sont sous le feu de positions fortifiées construites sur le talus et la crête et équipées de mitrailleuses ainsi que de canons. On y trouve aussi des observateurs d’artillerie chargés d’ajuster les tirs de batteries déployées plus dans la profondeur.
Le 6 juin à l’aube, après un bombardement aérien et naval des Alliés sur les positions allemandes, la américaine, « la Big Red One », une unité expérimentée, renforcée par un régiment de la , qui lui n'a encore jamais combattu, débarque sur cette plage.
Le débarquement de la première vague a lieu trois heures avant la marée haute.
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Le débarquement de Normandie, également appelé débarquement en Normandie, ou encore débarquement allié en Normandie, nom de code opération Neptune, est une opération militaire amphibie et aéroportée alliée de la Seconde Guerre mondiale lancée dans la nuit du 5 au 6 juin 1944. C'est la phase d'assaut d'une plus vaste opération qui vise à créer une tête de pont alliée de grande échelle dans le Nord-Ouest de l'Europe, et à l'ouverture d'un nouveau front à l'Ouest.
Juno Beach est le nom de code d'une des principales plages du débarquement allié en Normandie le lors de la Seconde Guerre mondiale. Elle s'étend sur , entre un point à l'ouest situé à mi-parcours entre Courseulles-sur-Mer et le lieu-dit de La Rivière, hameau à l'est de Ver-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer à l'est. Elle est encadrée par Gold Beach à l'ouest et Sword Beach à l'est. Sa prise fut assignée à la d'infanterie canadienne commandée par le major-général Rodney Keller, assisté par la Marine royale canadienne et la Royal Navy britannique.
vignette|Infanterie de marine britannique débarquant d'un Landing Craft Utility qui transporte un véhicule à haute mobilité : les Royal Marines avec de la Royal Navy, le de la Royal Fleet Auxiliary et un Westland WS-61 Sea King. Exercice de débarquement à Gibraltar en 2014. Un débarquement est une opération militaire amphibie visant à déposer sur une côte des soldats et du matériel militaire depuis des navires de débarquement en vue d'une invasion.
“... des lieux de silence, spacieux et fort étendus, destinés à la méditation, pourvus de hautes et de longues galeries pour les intempéries ou le trop ardent soleil”. F. Nietzsche. “Des lieux d'intériorité dans un océan d'extériorité. Des lieux de protection au coeur d'un univers ressenti comme tissé d'agressions de toutes natures. Des lieux de spiritualité séculière”. P. Besret.