Le cancer de l'anus est un cancer né dans le canal anal. Il ne doit pas être confondu avec le cancer du rectum. Plus de 90 % des cas de cancer de l'anus seraient liés au papillomavirus.
L'anus est constitué de trois types d'épithéliums, chacun pouvant être atteint d'un type de cancer particulier. Le type le plus fréquent est le « carcinome épidermoïde ». Ce cancer peut apparaître sous forme d'un bourgeonnement externe plus ou moins ulcéré. Certains cas ressemblent à une fissure ou encore sont confondus quelquefois avec des hémorroïdes.
Il représente 3 % des tumeurs malignes du côlon et du rectum. Il apparaît en général après 60 ans. Chez les hommes, la fréquence semble plus élevée pour les homosexuels passifs.
L'incidence tend à augmenter, plus particulièrement chez la femme avec une prédominance actuelle, tout au moins en Grande-Bretagne.
Le tabagisme est un facteur de risque, ainsi qu'une infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).
Le cancer de l'anus est causé par le papillomavirus humain (type HPV 16). Il se transmet le plus fréquemment par contact direct de peau à peau ou de muqueuse à muqueuse lors d'une relation sexuelle. Les contacts peau à muqueuse responsables de la contamination sont plus fréquents. Les rapports anaux-génitaux sont associés à un risque accru.
Ce virus à ADN est très fréquent dans la population. La souche HPV 6 a été identifiée comme une des causes de la dégénérescence des cellules de l'épithélium anal conduisant à l'apparition de tumeur.
Les femmes sont plus touchées que les hommes. Une étude épidémiologique montre que chez les hommes, ceux touchés par le virus de l'immunodéficience humaine, ou ayant des antécédents de condylomes ont un risque accru de contracter ce cancer. Une nouvelle population est identifiée depuis l'étude de Frisch , les hommes homo- ou bisexuels. L'homosexualité reste néanmoins un facteur extrêmement minime. Le tabac pourrait aussi favoriser l'apparition de ce cancer.
Dans un tiers des cas, on remarque de petits saignements (sang sur le papier ou des sécrétions séro-sanglantes tachant les sous-vêtements).
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Immunoengineering is an emerging field where engineering principles are grounded in immunology. This course provides students a broad overview of how engineering approaches can be utilized to study im
La néoplasie cervicale intra-épithéliale (NCI), également connue sous le nom de dysplasie cervicale, est la croissance anormale de cellules à la surface du col de l'utérus qui pourrait potentiellement conduire au cancer du col de l'utérus. Plus spécifiquement, NCI fait référence à la transformation potentiellement précancéreuse des cellules du col de l'utérus. La néoplasie cervicale intra-épithéliale se produit le plus souvent à la jonction pavimento-cylindrique du col de l'utérus, une zone de transition entre l'épithélium pavimenteux du vagin et l'épithélium cylindrique de l'endocol.
Le terme néoplasie (littéralement : nouvelle croissance) désigne une formation nouvelle — le néoplasme — qui se développe par prolifération cellulaire et qui présente une organisation structurale et une coordination fonctionnelle faible, voire nulle, avec le tissu environnant. Le mot « néoplasme » est le terme utilisé en médecine pour désigner une tumeur ou un cancer. Un journal scientifique consacré à la recherche oncologique porte le nom de Neoplasia.
Explore l'ingénierie des cellules immunitaires pour la thérapie contre le cancer, en mettant l'accent sur le ciblage des inhibiteurs de contrôle par des méthodes d'administration novatrices.
Explore l'évasion immunitaire tumorale, les défis de l'administration de médicaments et les stratégies de nanoparticules dans le traitement du cancer, y compris l'impact des inhibiteurs de contrôle et des hydrogels.
Recent genomic data points to a growing role for somatic mutations altering core histone and linker histone-encoding genes in cancer. However, the prevalence and the clinical and biological implications of histone gene mutations in malignant tumors remain ...
2023
, , , ,
Understanding the mechanisms that enable cancer cells to metastasize is essential in preventing cancer progression. Here we examine the metabolic adaptations of metastasis-initiating cells (MICs) in female breast cancer and how those shape their metastatic ...
Breast carcinoma is the most prevalent cancer among women globally. It has variable clinical courses depending on the stage and clinical-biological features. This case report describes a 56-year-old female with invasive breast cancer without estrogen or pr ...