vignette|droite|Le comté de Tyrol (en rose).
Le comté de Tyrol (en Grafschaft Tirol ; en contea del Tirolo) est un ancien État du Saint-Empire romain germanique jusqu'à 1806, puis de l'empire d'Autriche et de l'Autriche-Hongrie. Fondé au , ce comté a existé pendant plus de , jusqu'à sa division en 1919 par le traité de Saint-Germain-en-Laye.
L'État tire son nom du château Tyrol près de Merano, le siège ancestral des comtes avant qu'Innsbruck ne devienne la nouvelle capitale en 1420. À partir de l'an 1363, le Tyrol fait partie des territoires héréditaires des Habsbourg.
Le comté de Tyrol s'élabora lentement. Les terres comtoises firent d'abord parties du duché de Bavière au sein de la Francie orientale issue du démembrement de l'Empire carolingien en raison du traité de Verdun de 843. La frontière avec le royaume d'Italie, l'ancien royaume lombard, se trouvait au sud-ouest de Bozen (Bolzano). En 1027, l'empereur Conrad II le Salique a séparé le territoire du diocèse de Trente de l'Italie, cela a suscité le raccordement de la partie inférieure de la vallée de l'Etsch (Adige) avec la Bavière.
vignette|gauche|Le château de Tirol près de Meran.
Vers la fin du , des écrits mentionnent un comte, Albert (Adalbert), seigneur bavarois dans les Gaue montagneux sur les rives de l'Inn et le Wipptal, ainsi que la vallée de l'Isarco (Eisack) et du Gader tout au sud du duché. Sa famille venait à l'origine d'Eurasburg près du lac de Starnberg.
Après le déclenchement de la querelle des Investitures opposant le Saint-Empire et la papauté à Rome, en 1077, le comte Albert, un partenaire loyal du roi Henri IV, en commun avec l'évêque Altwin de Brixen (Bressanone) assume une position clé : les cols de Resia et du Brenner ont été significatifs en tant que deux traversées importantes des Alpes servant de chemin vers l'Italie au roi des Romains. Albert s'oppose ainsi à son seigneur féodal, le duc Welf de Bavière soutenant la position du pape Grégoire VII. Il a reçu également les droits de baillis dans le Vintschgau sur le cours supérieur de l'Etsch par Henri IV.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Le duché de Carniole (en Vojvodina Kranjska, en Herzogtum Krain) était un État du Saint-Empire romain germanique. Créé en 1364 suite à l'élévation de la marche de Carniole au rang de duché, il appartenait aux territoires héréditaires des Habsbourg et est devenu l'une des terres de la Couronne de l'empire d'Autriche en 1804 puis de l'Autriche-Hongrie en 1867. Sa capitale était la ville de Ljubljana (Laibach). Marche de Carniole La marche de Carniole est née sur le territoire du vaste duché de Carinthie au début du , lorsque les premiers margraves étaient établis au château de Kranj (Krainburg).
LAutriche (Österreich ), en forme longue la république d'Autriche (Republik Österreich), est un État fédéral d'Europe centrale, sans accès à la mer. Pays montagneux, il est entouré, dans le sens des aiguilles d'une montre, par l'Allemagne et la Tchéquie au nord, la Slovaquie et la Hongrie à l'est, la Slovénie et l'Italie au sud, et par la Suisse et le Liechtenstein à l'ouest. Sa capitale est Vienne, la plus grande ville du pays. L'Autriche est établie au en tant que margraviat du duché de Bavière au sein du Saint-Empire romain germanique.
Le val Venosta (en Vinschgau, ancienne graphie Vintschgau) est une vallée alpine qui se trouve dans l'Ouest de la province autonome de Bolzano (ou Haut Adige, ou Tyrol du Sud) en Italie. Il s'étend le long du cours supérieur de l'Adige, du col de Resia jusqu'à Parcines (Partschins) à l'est. La région est réputée pour sa culture de pommes car le climat y est doux. Le chef-lieu de cette vallée est Silandro (Schlanders). Le nom italien, comme le nom allemand, est derivé de la tribu celte des Vénostes (Venostae), dont le nom est mentionné sur le monument romain du Trophée des Alpes.
Background: Evaluating the impact of health systems on premature mortality across different countries is a very challenging task, as it is hardly possible to disentangle it from the influence of contextual factors such as cultural differences. In this resp ...