Abaque (d'abacus en latin et d'abax ἄβαξ en grec signifiant « table à poussière », et de avaq אבק en hébreu signifiant « poussière ») est le nom donné à tout instrument mécanique plan facilitant le calcul.
Dans la famille des abaques, on peut classer :
l’abaque couvert de sable sur lequel on dessine : l’abaque grec ;
l’abaque-compteur utilisant des galets ou des jetons : abaque égyptien ou romain ;
l’abaque avec des boules coulissant sur des tiges : la grande famille des bouliers ;
l’abaque formé d’un plateau et de réglettes mobiles, connu sous le nom de bâtons de Napier.
Dans l’histoire de la numération, l’écriture des nombres ne facilitait pas, en général, les calculs. Les géomètres et les comptables ont donc eu besoin d’instruments les aidant à calculer.
Le moyen le plus simple consiste à utiliser des cailloux disposés sur le sol. En Abyssinie (ancien nom de l’Éthiopie) par exemple, il était d’usage pour les guerriers partant au combat de déposer un caillou sur un tas, caillou qu’il retirait en revenant du combat. Le nombre de cailloux non retirés permettait de déterminer le nombre de morts au combat. Ce moyen extrêmement simple possédait cependant ses limites. Il fallut compléter le dispositif.
Mais fort longtemps encore, l’unité de calcul fut le caillou ou le galet, calculus en latin (même lorsqu’on lui substituait des bâtonnets plus aisés à dessiner, ce qui conduira plus tard à l’invention des chiffres écrits). Ce terme latin est d’ailleurs à l’origine du mot calcul (encore utilisé dans son sens originel en médecine).
On voit donc se développer successivement ou simultanément plusieurs tables ou abaques :
Il apparaît difficile de déclarer une seule et unique civilisation comme l'ayant inventé de manière absolue.
La trace la plus ancienne semble être le mot en sumérien, dont la forme archaïque de la période d'Uruk est figurée par un idéogramme représentant une main sur un tableau, et le mot , représenté par deux cases juxtaposées. Ces exemples tirés d'annuaires de professions donnent aussi les outils de ces professions, dont le mot en relation avec les métiers de calcul.
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La notation positionnelle est un procédé d'écriture des nombres, dans lequel chaque position d'un chiffre ou symbole est reliée à la position voisine par un multiplicateur, appelé base du système de numération. Chaque position peut être renseignée par un symbole (notation sans base auxiliaire) ou par un nombre fini de symboles (notation avec base auxiliaire). La valeur d'une position est celle du symbole de position ou celle de la précédente position apparente multipliée par la base.
Un ordinateur est un système de traitement de l'information programmable tel que défini par Alan Turing et qui fonctionne par la lecture séquentielle d'un ensemble d'instructions, organisées en programmes, qui lui font exécuter des opérations logiques et arithmétiques. Sa structure physique actuelle fait que toutes les opérations reposent sur la logique binaire et sur des nombres formés à partir de chiffres binaires.
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SPIE-Int. Soc. Opt. Eng1997
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The reactivity of (E)- and (Z)-1-fluorobuta-1,3-diene ((E)- and (Z)-11), 2-fluorobutadiene (12). (E)and (Z)-1-(fluoromethylidene)-2-methylidenecyclohexane ((E)- and (Z)-13) toward SO2 has been explored and compared with that of (Z)- and (E)-1-(fluoromethyl ...