Dingir (, usually transliterated DIĜIR, tiŋiɾ) is a Sumerian word for "god" or "goddess". Its cuneiform sign is most commonly employed as the determinative for religious names and related concepts, in which case it is not pronounced and is conventionally transliterated as a superscript "d" as in e.g. dInanna.
The cuneiform sign by itself was originally an ideogram for the Sumerian word an ("sky" or "heaven"); its use was then extended to a logogram for the word diĝir ("god" or "goddess") and the supreme deity of the Sumerian pantheon An, and a phonogram for the syllable /an/. Akkadian took over all these uses and added to them a logographic reading for the native ilum and from that a syllabic reading of /il/. In Hittite orthography, the syllabic value of the sign was again only an.
The concept of "divinity" in Sumerian is closely associated with the heavens, as is evident from the fact that the cuneiform sign doubles as the ideogram for "sky", and that its original shape is the picture of a star. The eight-pointed star was a chief symbol for the goddess Inanna. The original association of "divinity" is thus with "bright" or "shining" hierophanies in the sky.
The Sumerian sign DIĜIR originated as a star-shaped ideogram indicating a god in general, or the Sumerian god An, the supreme father of the gods. Dingir also meant sky or heaven in contrast with ki which meant earth. Its emesal pronunciation was dimer. (The use of m instead of ĝ [ŋ] was a typical phonological feature in emesal dialect.)
The plural of diĝir can be diĝir-diĝir, among others.
The Assyrian sign DIĜIR (ASH 𒀸 and MAŠ 𒈦, see cuneiform sign AN) could mean:
the Akkadian nominal stem il- meaning "god" or "goddess", derived from the Semitic ''ʾil-
the god Anum (An)
the Akkadian word šamû meaning "sky"
the syllables an and il (from the Akkadian word god: An or Il, or from gods with these names)
a preposition meaning "at" or "to"
a determinative indicating that the following word is the name of a god
According to one interpretation, DINGIR could also refer to a priest or priestess although there are other Akkadian words ēnu and ēntu that are also translated priest and priestess.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Sargon d’Akkad, forme francisée de l’akkadien Šarru(m)-kīn (qui peut se traduire par « Roi légitime »/« le Roi est légitime » ou encore « Roi loyal », etc.), fut le souverain fondateur de l’empire d’Akkad (ou Agadé), en unifiant par la force les principales cités de Mésopotamie sous son autorité. Les dates de son règne sont incertaines, en raison des incertitudes sur la chronologie absolue de la période, et aussi parce que sa durée de règne reste incertaine : on le situe couramment des environs de 2334 à 2279 av.
En linguistique, un sémagramme, déterminatif ou classificateur, est un idéogramme qui précise la catégorie sémantique des mots dans les langues à écriture logographique. La fonction des sémagrammes, cantonnée à l’écrit, car ils ne se prononcent pas, est similaire à celle des classificateurs présents dans les langues du sud-est asiatique (notamment le chinois, le vietnamien, le thaï, le japonais) et les langues des signes).
thumb|Le signe AN/DINGIR aux périodes tardives. vignette|Anu est présent sur le registre supérieur de ce kudurru, à côté des deux autres dieux créateurs: Enlil et Enki, ses fils. An (en sumérien), Anu (en akkadien), était considéré dans la mythologie mésopotamienne comme le dieu du ciel, de la végétation ainsi que de la pluie ; il était vu comme le père des dieux. Il habitait un royaume dans les cieux ; on disait de lui qu'il avait le pouvoir de juger tous les criminels. Il était notamment le père d'Enlil et d'Enki.