Hereditary monarchyA hereditary monarchy is a form of government and succession of power in which the throne passes from one member of a ruling family to another member of the same family. A series of rulers from the same family would constitute a dynasty. It is historically the most common type of monarchy and remains the dominant form in extant monarchies. It has the advantages of continuity of the concentration of power and wealth and predictability of who one can expect to control the means of governance and patronage.
Guerre de Cent AnsLa guerre de Cent Ans est un conflit entrecoupé de trêves plus ou moins longues, opposant, de 1337 à 1453, la dynastie des Plantagenêt à celle des Capétiens et des Valois, à travers elles, le royaume d'Angleterre et celui de France. Le terme même de « guerre de Cent Ans » est une construction historiographique établie au , pour regrouper cette succession de conflits.
Monarchie électiveUne monarchie élective est un type de monarchie où le monarque accède au trône par une élection et non de façon héréditaire. Aujourd'hui dans le monde, les monarchies électives sont : l'Arabie saoudite, où le roi est élu au sein de la famille régnante, par les princes la composant. En 2006, le roi a fondé le Conseil d'allégeance, composé de 35 descendants d'Ibn Saoud, chargés de se prononcer sur le choix d'un candidat au trône ; le Cambodge, où le roi est élu par le Conseil du trône, parmi les membres des familles Norodom, Sisowat, ou Ang Duong ; les Émirats arabes unis.
MonarchieLa monarchie (du grec mono « seul », arkhe « pouvoir » : « pouvoir d'un seul ») est un régime politique où l'unité du pouvoir est symbolisée par une seule personne, appelée « monarque » et n'est pas nécessairement une royauté. Elle peut être héréditaire ou élective (comme les rois Gaulois, les deys de l'État d'Alger ou encore les doges dans la république de Venise). Selon la définition de Montesquieu, une monarchie se définit par le gouvernement absolu d'un seul, mais ce pouvoir est limité par des lois.
Carol Iervignette|Armoiries de Charles Ier comme chevalier de l'ordre de la Toison d'or. Carol ou Charles (né à Sigmaringen le et mort à Sinaia le ) est un membre de la maison de Hohenzollern. Le , il est élu prince-souverain (domnitor) des principautés unies de Roumanie après la destitution du prince Alexandre Iean Cuza. Il est proclamé roi de Roumanie le . Il est le premier souverain de la maison de Hohenzollern-Sigmaringen à régner sur le pays, dynastie qui demeure à la tête du royaume de Roumanie, jusqu'à la proclamation de la république en 1947 par le gouvernement communiste.
Patrilinéaritévignette|Bartholomäus Bruyn le Vieux - Portrait d'un homme et ses trois enfants (1530). La famille patrilinéaire est un système de filiation dans lequel chacun relève du lignage de son père. Cela signifie que la transmission, par héritage, de la propriété, des noms de famille et titres passe par le lignage masculin. La patrilinéarité est inconnue de toutes les sociétés de singes, grands singes compris (d'après les synthèses de Pascal Picq). L'invention relève de la paléoanthropologie, .
Mariage morganatiqueUn mariage morganatique est l'union entre un souverain ou une souveraine, ou un prince ou une princesse d'une maison régnante, avec une personne de rang inférieur. L'époux est alors qualifié d'« époux morganatique » et se voit attribuer un titre de noblesse à défaut de celui de « prince/reine (consort) » qui lui est refusé. De plus, les enfants d'un mariage morganatique ne sont pas dynastes et donc exclus de la succession au trône.
Loi de succession de l'Empire russevignette|Loi de succession de l'Empire Russe de 1797 La loi de succession régissant la Maison de Holstein-Gottorp-Romanov fut rédigée en 1797 par Paul I de Russie. Elle repose sur une loi semi-salique. La loi de succession signée par Paul de Russie dispose que seul le fils aîné du Tsar peut hériter du trône impérial de Russie. En rédigeant cette loi, Paul I écarta les femmes de la succession, excepté dans le cas d'une extinction totale de la lignée masculine. En 1886, cette loi fut confirmée par Alexandre III, et, en 1906, par Nicolas II.