Pékin'Pékin' ( , « capitale du nord »), ou Beijing, est la capitale de la république populaire de Chine. Située dans le Nord-Est du pays, la municipalité de Pékin, d'une superficie de , est entourée par la province du Hebei ainsi que la municipalité de Tianjin, qui forment la mégalopole de Jing-Jin-Ji. Pékin est considérée comme le centre politique et culturel de la Chine, tandis que Hong Kong, Shanghai, Canton et Shenzhen dominent sur le plan économique.
Christianisme en ChineCet article traite du christianisme en Chine. a été traduit par () et (présent essentiellement sous ses versions anglo-saxonnes) par () ou (). Le christianisme en général est traduit par (). Il est fréquent que les Chinois, en majorité peu familiers du christianisme, considèrent que ces deux confessions adorent des dieux différents.
Jardin chinoisvignette|350px|Le jardin Yuyuan à Shanghai. Le jardin chinois est tout à la fois un lieu de vie et de divertissement dans lequel on se plaît à flâner et un lieu « magique », un cosmos miniature dans lequel on cherche à recréer l'image d'une nature idéale. Il se présente donc comme un compromis constant entre les dimensions esthétiques et symboliques. L'art du jardin appartient au même titre que la calligraphie ou la poésie aux arts sacrés chinois. vignette|Le jardin de la politique des simples, Suzhou.
Culture chinoisethumb|Papier découpé. thumb|upright|Taiji Fan, discipline d'arme associée au taiji quan. thumb|upright|Lion chinois. La culture chinoise couvre un ensemble immense et complexe de réalisations dans les domaines les plus divers, dont les plus anciennes remontent à , qui ont vu le jour sur le territoire de la Chine, l'une des plus vieilles entités géopolitiques du monde moderne.
Examens impériauxEn Chine impériale, l'examen impérial () était un examen pour déterminer qui de la population pouvait faire partie de la bureaucratie de l'État. Ce système a existé continûment pendant , depuis sa création en 605 jusqu'à son abolition vers la fin de la dynastie Qing, en 1905. Les examens mandarinaux, dans la Chine impériale, permettaient d’entrer dans la bureaucratie de l’État, le premier but étant de remplacer la transmission du pouvoir aristocratique par une transmission du pouvoir méritocratique.
Astronomie chinoisevignette|La carte de Dunhuang est l'une des premières représentations graphiques connues des étoiles de l'astronomie chinoise antique. Elle a été composée vers 649-684, sous la dynastie Tang. L’astronomie chinoise s'est développée sur plusieurs siècles et s'est longtemps montrée en avance sur celle du monde occidental. Un très grand nombre d'observations antérieures à la fin du Moyen Âge sont sans comparaison avec ce qui se faisait dans le monde occidental. Une des finalités du développement de l'astronomie était de nature divinatoire.
Compagnie de JésusLa Compagnie de Jésus (en Societas Jesu, abrégé S.J.) est une congrégation catholique masculine dont les membres sont des clercs réguliers appelés « Jésuites ». La Compagnie est fondée par saint Ignace de Loyola, saint François Xavier, saint Pierre Favre et les premiers compagnons en 1539, et approuvée en 1540 par le pape Paul III. Dissoute en 1773, elle est rétablie en 1814 par le pape Pie VII. Au début du , les Jésuites revendiquent près de , ce qui constitue la congrégation masculine la plus importante au sein de l'Église catholique, où elle n'est devancée que par l'ensemble des branches franciscaines.
Romanisation des langues chinoisesvignette|Le mot chinois pour « Langue nationale » écrit en chinois traditionnel, chinois simplifié, et les romanisations hanyu pinyin, Gwoyeu Romatzyh, Wade-Giles, et Yale. La romanisation des langues chinoises (, littéralement Conversion caractères chinois-latin) est l'utilisation de l'alphabet latin pour écrire la langue chinoise. Le chinois est écrit avec les caractères chinois depuis environ 1500 L'écriture chinoise ne rend pas directement la prononciation de la langue. Les raisons d'être de ces systèmes de romanisation sont multiples.
Religion en ChineLe fait religieux dans le monde chinois se caractérise par le pluralisme, favorisé par l’attitude de l'État : celui-ci exerce depuis le début de l’empire () un contrôle attentif sur les groupes susceptibles de constituer une menace pour le pouvoir et la société et met au pas les sectes trop actives, n’accordant qu’exceptionnellement l’exclusivité à un culte. Le syncrétisme et le mélange sont courants, rendant les contours des ensembles religieux flous ; on a l’impression de se trouver face à une constellation de philosophies et de pratiques plutôt qu'à des confessions.