La production d'un bien, ou d'un service, est le résultat de la combinaison d'autres biens (telles les matières premières et l'énergie) et de "services" rendus par le travail et des biens durables (machines, équipements, locaux, etc.), qualifiés d'intrants ou d'inputs en microéconomie, de facteurs de production en macroéconomie. On appelle productivité marginale d'un intrant (ou d'un facteur de production), l'augmentation de la quantité de production provoquée par l'augmentation d'une unité de cet intrant (ou de ce facteur de production), la quantité des autres intrants demeurant inchangée - condition toutes choses égales par ailleurs (ou ceteris paribus). Quand la relation entre intrants et produit est donnée par une fonction mathématique - une fonction de production -, alors la productivité marginale de l'intrant i est caractérisée par la dérivée partielle, par rapport à sa i-ème variable, de la fonction de production.
La notion de productivité marginale transpose au niveau de la production celle d'utilité marginale, relative à la consommation. Mais alors qu'on peut parler raisonnablement de l'augmentation de l'utilité, ou de la satisfaction, provoquée par la consommation supplémentaire d'un bien, il n'en est pas de même en ce qui concerne l'effet de l'augmentation d'un des ingrédients intervenant dans la production, en supposant les autres inchangés. Car, en règle générale - si ce n'est toujours - les biens produits sont le résultat de plusieurs matières premières ou "services". Le boulanger qui travaille "un peu plus" pour augmenter sa production de pain ne pourra le faire que s'il fait appel à plus de farine (et d'énergie, de levure, etc). Pour augmenter la production en faisant appel à un outil ou à une machine supplémentaire, il faudra faire appel à du travail et des matières premières supplémentaires. Si on l'exclut d'office, comme le suppose la définition même de la productivité marginale, alors celle ci ne peut qu'être nulle - la production ne peut augmenter si un seul intrant (input) le fait.
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En économie, la loi des rendements décroissants énonce le principe selon lequel le rendement marginal (ou productivité marginale) obtenu par l'utilisation d'un facteur de production supplémentaire (le capital ou le travail) diminue, toutes choses égales par ailleurs. Le facteur de production est traditionnellement le travail ou le capital, mais le raisonnement a été étendu à d'autres champs. Elle est aussi connue sous le nom de la loi des proportions variables, loi des rendements non proportionnels ou loi des rendements marginaux décroissants.
La théorie de la firme consiste en un certain nombre de théories économiques qui décrivent, expliquent et prédisent la nature de la firme, compagnie, ou corporation sa vie, sa conduite, sa structure, et son rapport au marché. En termes simplifiés, la théorie de la firme a pour but de répondre à ces questions : L'existence. Pourquoi les firmes apparaissent, pourquoi toutes les transactions en économie ne sont pas mises sur le marché ? Les frontières. Pourquoi la frontière entre les firmes et le marché est s
Le coût marginal est le coût induit par une variation de l'activité. Pour les économistes, cette variation peut être infinitésimale, et le coût marginal est alors la dérivée de la fonction de coût. Pour les comptables, le coût marginal est défini comme la variation du coût engendrée par la production ou la vente d'une unité supplémentaire (ce qui est plus concret qu'un calcul de dérivée). Dans la réalité du monde de l'entreprise, la variation d'activité correspond généralement à une commande supplémentaire (qui peut donc porter sur un lot de plusieurs produits).
Most cryospheric ecosystems are energy limited. How their energetics will respond to climate change remains largely unknown. This is particularly true for glacier-fed streams, which interface with the cryosphere and initiate some of Earth's largest river s ...
Berlin2024
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