Romanticism in science

19th-century science was greatly influenced by Romanticism (or the Age of Reflection, 1800–40), an intellectual movement that originated in Western Europe as a counter-movement to the late-18th-century Enlightenment. Romanticism incorporated many fields of study, including politics, the arts, and the humanities. In contrast to the Enlightenment's mechanistic natural philosophy, European scientists of the Romantic period held that observing nature implied understanding the self and that knowledge of nature "should not be obtained by force". They felt that the Enlightenment had encouraged the abuse of the sciences, and they sought to advance a new way to increase scientific knowledge, one that they felt would be more beneficial not only to mankind but to nature as well. Romanticism advanced a number of themes: it promoted anti-reductionism (that the whole is more valuable than the parts alone) and epistemological optimism (man was connected to nature), and encouraged creativity, experience, and genius. It also emphasized the scientist's role in scientific discovery, holding that acquiring knowledge of nature meant understanding man as well; therefore, these scientists placed a high importance on respect for nature. Romanticism declined beginning around 1840 as a new movement, positivism, took hold of intellectuals, and lasted until about 1880. As with the intellectuals who earlier had become disenchanted with the Enlightenment and had sought a new approach to science, people now lost interest in Romanticism and sought to study science using a stricter process. As the Enlightenment had a firm hold in France during the last decades of the 18th century, the Romantic view on science was a movement that flourished in Great Britain and especially Germany in the first half of the 19th century. Both sought to increase individual and cultural self-understanding by recognizing the limits in human knowledge through the study of nature and the intellectual capacities of man.

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