L’effet domino est une réaction en chaîne qui peut se produire lorsqu'un changement mineur provoque un changement comparable à proximité, qui provoquera un autre changement similaire, et ainsi de suite au cours d'une séquence linéaire.
Le terme est utilisé par analogie à la chute séquentielle d'une file de dominos, et se réfère à une suite d'événements liés entre eux. Cette expression peut être employée de façon littérale (une série de collisions observées) ou de façon métaphorique (des systèmes complexes. C'est le cas par exemple en finance internationale où peut se matérialiser en situation extrême un risque systémique).
La démonstration classique consiste à aligner debout une file de dominos, en faisant vaciller le premier domino. Ce domino fait tomber le domino voisin et ainsi de suite. En théorie, quelle que soit la longueur de la chaîne, les dominos continueront de tomber car l'énergie requise pour faire vaciller chaque domino est inférieure à l'énergie transférée par chaque impact : la réaction est donc auto-suffisante. L'énergie est emmagasinée en mettant au préalable les dominos dans une position métastable, et cette énergie maintient le basculement des dominos de la chaîne.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
vignette|Un graphique de l'attracteur étrange de Lorenz pour les valeurs ρ = 28, σ = 10, β = 8/3 « Effet papillon » est une expression qui résume une métaphore concernant le phénomène fondamental de sensibilité aux conditions initiales de la théorie du chaos. La formulation exacte qui en est à l'origine fut exprimée par Edward Lorenz lors d'une conférence scientifique en 1972, dont le titre était : vignette|Le battement d'ailes du papillon.
In a distributed system using message logging and checkpointing to provide fault tolerance, there is always a unique maximum recoverable system state, regardless of the message logging protocol used. The proof of this relies on the observation that the set ...