A conscientious objector (often shortened to conchie) is an "individual who has claimed the right to refuse to perform military service" on the grounds of freedom of thought, conscience, or religion. The term has also been extended to objecting to working for the military–industrial complex due to a crisis of conscience. In some countries, conscientious objectors are assigned to an alternative civilian service as a substitute for conscription or military service.
A number of organizations around the world celebrate the principle on May 15 as International Conscientious Objection Day.
On March 8, 1995, the United Nations Commission on Human Rights resolution 1995/83 stated that "persons performing military service should not be excluded from the right to have conscientious objections to military service". This was re-affirmed on April 22, 1998, when resolution 1998/77 recognized that "persons [already] performing military service may develop conscientious objections".
Many conscientious objectors have been executed, imprisoned, or otherwise penalized when their beliefs led to actions conflicting with their society's legal system or government. The legal definition and status of conscientious objection has varied over the years and from nation to nation. Religious beliefs were a starting point in many nations for legally granting conscientious objector status.
The first recorded conscientious objector, Maximilianus, was conscripted into the Roman Army in the year 295, but "told the Proconsul in Numidia that because of his religious convictions he could not serve in the military". He was executed for this, and was later canonized as Saint Maximilian.
An early recognition of conscientious objection was granted by William the Silent to the Dutch Mennonites in 1575. They could refuse military service in exchange for a monetary payment.
Formal legislation to exempt objectors from fighting was first granted in mid-18th-century Great Britain following problems with attempting to force Quakers into military service.
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vignette|Gandhi, pendant la marche du sel, le . La non-violence est un principe des religions de l'Inde (jaïnisme, hindouisme), du christianisme, du judaïsme (néanmoins, ce terme en tant que tel n'apparaît jamais dans la Bible) et de l'islam et de la philosophie qui se définit comme une « opposition à la violence sans nuire ou causer du tort à autrui ».
thumb|Symbole de la paix , Peace and love, largement associé au pacifisme. thumb|upright=1.3|Des rencontres pour la paix se tiennent régulièrement à Assise, en Italie Le pacifisme possède deux acceptions possibles incluant l'action des de la paix, ou une doctrine de la non-violence. Bien que reliés, les deux concepts se distinguent du point de vue de la théorie et de la pratique. Le pacifisme est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou du rétablissement de la paix.
Les Églises pacifistes sont des dénominations chrétiennes, des communautés ou des groupes de chrétiens souscrivant au pacifisme chrétien ou à la pratique biblique de la « non-résistance ». Le terme d’« Églises traditionnellement pacifistes » (en anglais Historic Peace Churches) se réfère spécifiquement aux trois groupes d'Églises qui ont participé à la première conférence de la paix des Églises dans le Kansas en 1935 : la Société religieuse des Amis (quakers), l'Église des Frères (en anglais Brethren, d'origine anabaptiste) et les Mennonites, y compris les Amish.