vignette|Aquifère artésien.
Un puits artésien (du nom de Lillers-en-Artois) est une exsurgence captant l'eau d'une nappe captive et qui forme un puits où l'eau jaillit spontanément ou non. Il se distingue de la source artésienne, source jaillissant sous pression à travers une fissure, alimentée par l'eau de cette nappe quand le point d'émergence se trouve à une altitude inférieure à celle du niveau hydrostatique de la nappe.
Le puits peut également être artificiel (forage).
L’artésianisme est le phénomène de captage de cette eau souterraine à la surface du sol en vertu du principe des vases communicants, sans qu'il soit nécessaire de la pomper.
De tels puits sont connus depuis le début de l'Antiquité en Perse, en Égypte et sans doute aussi en Syrie. Le développement urbain et le choix de sites d'implantation nécessitant des sources d'eau sûres (monastères, moulins), induit l'essor de l'hydraulique médiévale dans l'occident qui a été influencée par l'hydraulique orientale.
Les historiens sont moins informés sur la datation des sources sur les plateaux de Picardie que sur les sources dans les vallées, d'où l'hypothèse traditionnelle mais probablement fausse selon laquelle le premier puits artésien serait attesté en 1126 dans une abbaye de Lillers-en-Artois, dans une région d'où provenait un grand nombre de participants à la première croisade.
vignette|alt=Géologie du secteur de Béthune-Lillers|Structure géologique très simplifiée de la région de Béthune-Lillers (le sud se trouve à gauche, le nord à droite).
L'« artésianisme » résulte d'une configuration géologique et topographique particulière provoquant la mise en pression d'un aquifère ; l'inclinaison de la couche géologique imperméable surmontant cet aquifère le contraignant sous le niveau piézométrique. Si cette couche est forée, l'eau remonte en jaillissant, selon le principe des vases communicants.
Ces eaux souterraines profondes pouvant être chaudes, les puits artésiens sont aussi utilisés dans des systèmes de chauffage géothermique, utilisant le principe des vases communicants et le phénomène du thermosiphon.
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Un puits à eau est le résultat d'un terrassement vertical, mécanisé (par forage, havage, etc.) ou manuel, permettant l'exploitation d'une nappe d'eau souterraine, autrement dit un aquifère. L'eau peut être remontée au niveau du sol grâce à un seau ou une pompe, manuelle ou non. Les puits sont très divers, que ce soit par leur mode de creusement, leur profondeur, leur volume d'eau, ou leur équipement. Les premiers puits étaient probablement de simples trous mal protégés des éboulements et qui n'ont pas résisté au temps et ont disparu.
Groundwater models are computer models of groundwater flow systems, and are used by hydrologists and hydrogeologists. Groundwater models are used to simulate and predict aquifer conditions. An unambiguous definition of "groundwater model" is difficult to give, but there are many common characteristics. A groundwater model may be a scale model or an electric model of a groundwater situation or aquifer. Groundwater models are used to represent the natural groundwater flow in the environment.
vignette|Aquifère artésien. Un puits artésien (du nom de Lillers-en-Artois) est une exsurgence captant l'eau d'une nappe captive et qui forme un puits où l'eau jaillit spontanément ou non. Il se distingue de la source artésienne, source jaillissant sous pression à travers une fissure, alimentée par l'eau de cette nappe quand le point d'émergence se trouve à une altitude inférieure à celle du niveau hydrostatique de la nappe. Le puits peut également être artificiel (forage).
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