Concept

Bataille de Château-Thierry (1918)

Résumé
La bataille de Château-Thierry eut lieu le et fut un des premiers affrontements auquel participa l'American Expeditionary Force (AEF) sous les ordres du général John J. "Black Jack" Pershing. Elle se déroula dans le cadre de la Première Guerre mondiale et plus précisément dans la seconde bataille de la Marne, qui débuta par une offensive allemande, lancée le 15 juillet contre ces troupes nouvellement arrivées sur le front, l'AEF américain. les forces françaises et américaines situées entre Fontenoy et Château-Thierry lancèrent une contre-offensive (Bataille du Soissonnais et de l'Ourcq) sous les ordres du commandant suprême des forces Alliées, le général Ferdinand Foch, qui fut promu par la suite maréchal de France pour avoir remporté la seconde bataille de la Marne, et détruit les positions allemandes. Cet assaut sur un front de de large était le premier du genre lancé depuis un an. L'armée américaine se distingua tout particulièrement dans les régions autour de Soissons et Château-Thierry. Les forces alliées, Armée et Armée épaulées par le d'armée, le de cavalerie, 700 batteries d'artillerie, 500 chars d'assaut et 67 escadrilles. Ils lancèrent leur attaque à 4h45 du matin prenant les Allemands par surprise. En effet, les Alliés n'avaient effectué aucun bombardement préliminaire pour détruire les pièces d'artillerie, comme il en était la coutume, mais avaient appliqué à la perfection la technique du feu roulant qui nécessite beaucoup de précision. À midi, les villages de Dammard, Belleau, Troesnes, Villers-Hélon sont enlevés par les troupes françaises. À gauche, la division marocaine (Zouaves, Tirailleurs, Légion) a dépassé Chaudun, et les Américains s’emparent de Vierzy. la armée enlève Neuilly-Saint-Front et conquiert le plateau de Priez. Degoutte entre dans Château-Thierry, refoulant à travers le Tardenois les divisions allemandes de Von Boëhm. Au soir du 21, la Armée a progressé d’une dizaine de kilomètres et la ligne de ses avant-gardes passe près d’Hartennes et d’Oulchy-le-Château qui tient toujours, au-delà de Grisolles, de Bézu-saint-Germain et d’Epieds.
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