Un white hat (en français : « chapeau blanc ») est un hacker éthique ou un expert en sécurité informatique qui réalise des tests d'intrusion et d'autres méthodes de test afin d'assurer la sécurité des systèmes d'information d'une organisation. Par définition, les « white hats » avertissent les auteurs lors de la découverte de vulnérabilités. Ils s'opposent aux black hats, qui sont les hackers mal intentionnés.
Liste non exhaustive :
Attaques par déni de service (DDoS) ;
Ingénierie sociale (social engineering) ;
Scanneurs de vulnérabilités ou analyseur de réseaux (exemples : w3af, Nessus, Nmap) : balayage des ports ouverts sur une machine ou sur un réseau donné ;
Frameworks, tels que par exemple Metasploit.
Un hacker étant un « bidouilleur » informatique, les « black hats » comme les « white hats » peuvent être assimilés à des hackers, en ce sens qu'ils bidouillent les systèmes d'information, allant jusqu'à découvrir des vulnérabilités non rendues publiques et jamais exploitées, que l'on qualifie dans le jargon informatique de « zero day » ou « zéro-jour » d'utilisation. Jusqu'à cette étape la différence entre les couleurs de chapeau n'est pas encore faite. Se pose alors la question de savoir si cette vulnérabilité doit être rendue publique ou non.
Dans l'absolu, les « white hats » prônent la divulgation totale (en anglais full disclosure) tandis que les « black hats » prônent la restriction de l'information (afin de pouvoir tirer profit de ces vulnérabilités le plus longtemps possible).
Une distinction apparaît également entre les « white hats », qui vont généralement rendre la vulnérabilité immédiatement publique (souvent avec le code source d'un programme appelé « exploit » afin de résoudre le bogue), et les « grey hats » qui vont généralement donner un délai raisonnable aux entreprises pour régler le problème avant de rendre la vulnérabilité publique, et rarement rendre public le code source permettant d'exploiter la faille de sécurité.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Couvre les concepts de sécurité de base, la pensée contradictoire, les mécanismes de sécurité et la conduite responsable dans les principes de conception de la sécurité.
Explore la sécurité de l'information dans la communication, le calcul et les menaces numériques, en mettant l'accent sur la protection des données et le contrôle d'accès.
En sécurité informatique, le terme hacker, francisé hackeur ou hackeuse, désigne une personne qui recherche les moyens de contourner les protections logicielles et matérielles. Il agit par curiosité, à la recherche de la gloire, par conscience politique, contre rémunération, ou bien par vengeance ou malveillance. L'usage dans ce sens est contesté par la sous-culture du même nom, qui propose le terme cracker pour le remplacer, sans qu'il parvienne à s'imposer.
Un white hat (en français : « chapeau blanc ») est un hacker éthique ou un expert en sécurité informatique qui réalise des tests d'intrusion et d'autres méthodes de test afin d'assurer la sécurité des systèmes d'information d'une organisation. Par définition, les « white hats » avertissent les auteurs lors de la découverte de vulnérabilités. Ils s'opposent aux black hats, qui sont les hackers mal intentionnés.
Dans le domaine de la sécurité informatique, une vulnérabilité ou faille est une faiblesse dans un système informatique permettant à un attaquant de porter atteinte à l'intégrité de ce système, c'est-à-dire à son fonctionnement normal, à la confidentialité ou à l'intégrité des données qu'il contient. Ces vulnérabilités sont la conséquence de faiblesses dans la conception, la mise en œuvre ou l'utilisation d'un composant matériel ou logiciel du système, mais il s'agit souvent d'anomalies logicielles liées à des erreurs de programmation ou à de mauvaises pratiques.
The SciFilmIt Hackathon brings unique and meaningful experiences to students, researchers and artists. Over three days, participants will work together to hack science communication to the public usin
This is an introductory course to computer security and privacy. Its goal is to provide students with means to reason about security and privacy problems, and provide them with tools to confront them.