vignette|Nombre d'argent dans l'octogone régulier
L'appellation nombre d'argent , ou proportion d'argent, a été proposée pour diverses généralisations du nombre d'or ; la plus courante est celle qui fait du nombre d'argent le deuxième nombre métallique.
Le nombre d'argent, noté ou est égal à () ; c'est l'unique solution positive de l'équation .
Il peut aussi être écrit comme la fraction continue purement périodique [] :
ou comme radical imbriqué infini .
De même que le nombre d'or est relié à toute suite de Fibonacci généralisée, le nombre d'argent est relié à toute suite de Pell généralisée, vérifiant ; le terme général d'une telle suite s'écrit en effet où est l'autre solution de .
Par exemple, pour la suite de Pell proprement dite définie par , le terme général s'écrit :
formule analogue à la formule de Binet pour la suite de Fibonacci.
La suite de Pell-Lucas de premiers termes vérifie .
De plus, pour toute suite vérifiant de limite infinie, le nombre d'argent est la limite des rapports successifs .
Inversement, les puissances successives du nombre d'argent vérifient .
Le nombre d'argent étant un nombre de Pisot-Vijayaraghavan, il possède une propriété rare d'approximation diophantienne : la suite des parties fractionnaires de ses puissances tend vers 0.
Un rectangle dont le rapport de la longueur à la largeur est égal au nombre d'argent est parfois appelé « rectangle d'argent », par analogie avec le rectangle d'or.
Mais cette expression est ambiguë : « rectangle d'argent » peut aussi désigner un rectangle de proportion , aussi connu sous le nom de rectangle A4, en référence au format de papier A4.
Les rectangles d'argent de l'un ou l'autre type ont la propriété qu'en leur enlevant deux carrés maximaux, on on obtient un rectangle semblable. En effet, en retirant le plus grand carré possible d'un rectangle d'argent d'un des deux types, on obtient un rectangle d'argent de l'autre type, si bien qu'en recommençant, on retrouve un rectangle d'argent du même type que l'original, mais réduit d'un facteur 1 + .
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En mathématiques, la suite de Pell et la suite de Pell-Lucas sont respectivement les suites d'entiers U(2, –1) et V(2, –1), cas particulier de suites de Lucas. La première est aussi la 2-suite de Fibonacci. Leurs termes sont dénommés respectivement nombres de Pell et nombres de Pell-Lucas. La suite de Pell et la suite de Pell-Lucas sont définies par récurrence linéaire double : Autrement dit : on commence par 0 et 1 pour la première suite et par 2 et 2 pour la seconde, et dans chacune des deux suites, on produit le terme suivant en additionnant deux fois le dernier à l'avant-dernier.
2 (deux) est l'entier naturel qui suit 1 et qui précède 3. La plupart des systèmes de numération possèdent un chiffre pour signifier le nombre deux. Deux (chiffre) Le chiffre « deux », symbolisé « 2 », est le chiffre arabe servant notamment à signifier le nombre deux. Le chiffre « 2 » n'est pas le seul utilisé dans le monde ; un certain nombre d'alphabets — particulièrement ceux des langues du sous-continent indien et du sud-est asiatique — utilisent des chiffres différents, même au sein de la numération indo-arabe.
La racine carrée de deux, notée (ou parfois 2), est définie comme le seul nombre réel positif qui, lorsqu’il est multiplié par lui-même, donne le nombre 2, autrement dit × = 2. C’est un nombre irrationnel, dont une valeur approchée à 10 près est : ≈ 1,414 213 562. vignette|L’hypoténuse d’un triangle rectangle isocèle de côté 1 vaut . Le calcul d’une valeur approchée de a été un problème mathématique pendant des siècles. Ces recherches ont permis de perfectionner les algorithmes de calculs d’extraction de racines carrées.
Within the ideal magnetohydrodynamic (MHD) model, the geodesic acoustic modes (GAMs) in tokamaks derived by Winsor et al (1968 Phys. Fluids 11 2448) belong to the continuous spectrum, characterised by unbounded non-square integrable eigenfunctions (delta f ...