Un ding () désigne un ancien chaudron chinois sur pieds doté d’un couvercle et de deux anses de part et d’autre. Éléments habituels de la vaisselle rituelle de bronze en Chine, ils sont apparus à l'époque néolithique sous une forme voisine en terre cuite. De ces prototypes les artisans de l'Âge du bronze en ont fait dériver les chaudrons, fondus dans des moules en plusieurs parties par une ou plusieurs coulées de bronze. Les ding étaient à l’origine ronds à trois pieds (tripode) ou rectangulaires à quatre pieds, puis des formes moins régulières (par exemple demi-lune ou en fer à cheval) apparaissent après la chute des Zhou occidentaux. Les pieds peuvent être en forme de dragon ou d'oiseaux.
Les ding, à l’origine fabriqués en terre cuite, faisaient office de vaisselle quotidienne puis, à partir de la dynastie Shang (1600-1046 av. J.-C.), ils sont réalisés en bronze et prennent donc une plus grande importance, illustrant la richesse de leur propriétaire ou servant aux rituels. L'archéologie qui s'est développée en Chine au a permis de mettre au jour de nombreux objets rituels en bronze, souvent enterrés dans la tombe de leurs propriétaires pour l’au-delà. Les plus anciens ding connus datent du néolithique et sont en terre cuite. Des inscriptions découvertes sur des ding, et d'autres bronzes rituels ou somptuaires, sur de la vaisselle ou sur d'autres objets comme sur les anciennes cloches bianzhong permettent de déchiffrer les calligraphies gravées sur bronze nommées Jīnwén. En général, les ding étaient destinés aux offrandes de viandes, pour les rituels surtout sous les Shang ou en tant qu'offrande, sous les Zhou.
Dans la tradition chinoise à partir de la découverte de vases antiques dont la pratique cultuelle s'était perdue, posséder un ou plusieurs anciens ding est considéré comme un signe de puissance et de domination.
Les plus célèbres ding anciens restent peut-être les légendaires neuf chaudrons tripodes en bronze, dont la tradition raconte qu’ils auraient été fondus par Yu le Grand de la dynastie mythique des Xia lorsqu’il créa les neuf provinces (Jiuzhou).
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vignette|Vase you à conserver les boissons, dit : la Tigresse. Bronze, H. loin au Sud du territoire Shang. Hunan, avant notre ère. Musée Cernuschi. Les bronzes chinois sont universellement admirés comme des chefs-d’œuvre de l'art du bronze, tout particulièrement ceux réalisés au cours des deux premiers millénaires avant notre ère. Les bronzes des dynasties Shang et Zhou, depuis le et jusqu’à 221 avant notre ère, aux formes et décors étonnants, témoignent de l’esprit créatif et de la remarquable maîtrise technique des bronziers chinois au cours de l’âge du bronze.
Chinese bronze inscriptions, also commonly referred to as bronze script or bronzeware script, are writing in a variety of Chinese scripts on ritual bronzes such as zhōng bells and dǐng tripodal cauldrons from the Shang dynasty (2nd millennium BC) to the Zhou dynasty (11th–3rd century BC) and even later. Early bronze inscriptions were almost always cast (that is, the writing was done with a stylus in the wet clay of the piece-mold from which the bronze was then cast), while later inscriptions were often engraved after the bronze was cast.
Le Céleste Empire ou littéralement « Sous le ciel » (chinois : 天下, Pinyin : tiān xià, Wade-Giles: t'ien1-hsia4) est un nom que les Chinois donnaient à la Chine à l'époque impériale, notamment pendant les périodes de division ou de guerres civiles. C'est un concept selon lequel la Chine exercerait un pouvoir sur le reste du monde, peuplé de « barbares ». Tiān xià est parfois traduit en « Céleste Empire » dans les ouvrages littéraires occidentaux anciens, même si le terme exact est Shénzhōu (神州).
Over the last century, the constant quest to improve the mechanical properties of ceramics has ultimately led to the appearance and production of transparent ceramics. Indeed, microstructural refinement and reduction of the residual porosity after sinterin ...