Porte-plume (écriture)Le porte-plume est un petit manche de bois, de métal, d'ivoire, de matières plastiques, ou de tout autre matériau, à l'extrémité de laquelle est insérée une plume, en général métallique, que l'on trempe dans l'encre pour écrire ou pour dessiner. La plume tient en place soit en force par la relative élasticité du métal, soit par un petit levier incorporé au porte-plume qui permet de la bloquer ou de la débloquer facilement. Le porte-plume associé à la plume métallique a succédé à la plume d'oie utilisée traditionnellement en Occident pour l'écriture manuscrite.
StyloLe stylo (apocope de stylographe) est un instrument, généralement de forme allongée facilitant sa préhension, qui sert à écrire ou à dessiner. Ayant l'avantage de posséder son propre réservoir d'encre, il a progressivement remplacé le porte-plume. Le mot est attesté en Grande-Bretagne dès 1882 pour un instrument à pointe tubulaire mais ne fut utilisé en France au sens d'instrument d'écriture qu'à partir de 1907. Il ne figure cependant pas encore dans le Larousse élémentaire illustré de 1918.
Courburevignette|Le déplacement d'une Dictyostelium discoideum dont la couleur du contour est fonction de la courbure. Échelle : 5 μm ; durée : 22 secondes. Intuitivement, courbe s'oppose à droit : la courbure d'un objet géométrique est une mesure quantitative du caractère « plus ou moins courbé » de cet objet. Par exemple : dans le plan euclidien, une ligne droite est un objet à une dimension de courbure nulle et un cercle un objet de courbure constante positive, valant 1/R (inverse du rayon) ; dans l'espace euclidien usuel à trois dimensions, un plan est un objet à deux dimensions de courbure nulle, et une sphère est un objet à deux dimensions de courbure constante positive.
Bec de plumeLe bec d’une plume d’écriture est la partie qui en forme l’extrémité et qui vient en contact avec le support, papier, parchemin ou autre. Le bec est pourvu d’une fente qui permet à ses deux parties de s’écarter plus ou moins selon la pression, produisant ainsi un tracé plus ou moins épais (plein et délié). Lorsque la plume est taillée en biseau, de manière à présenter une extrémité d’une certaine largeur, comme le calame, le bec est plus rigide et les pleins et déliés sont fonction de l’inclinaison du tracé.
Courbure de Gaussvignette|De gauche à droite : une surface de courbure de Gauss négative (un hyperboloïde), une surface de courbure nulle (un cylindre), et une surface de courbure positive (une sphère). vignette|Certains points du tore sont de courbure positive (points elliptiques) et d'autres de courbure négative (points hyperboliques) La courbure de Gauss, parfois aussi appelée courbure totale, d'une surface paramétrée X en X(P) est le produit des courbures principales. De manière équivalente, la courbure de Gauss est le déterminant de l'endomorphisme de Weingarten.