vignette|Ici Agner Krarup Erlang, ingénieur et mathématicien Danois ayant travaillé sur la théorie des files d'attente. La théorie des files d'attente est une théorie mathématique relevant du domaine des probabilités, qui étudie les solutions optimales de gestion des , ou queues. Une queue est nécessaire et se créera d'elle-même si ce n'est pas anticipé, dans tous les cas où l'offre est inférieure à la demande, même temporairement.
In queueing theory, a discipline within the mathematical theory of probability, a G-network (generalized queueing network, often called a Gelenbe network) is an open network of G-queues first introduced by Erol Gelenbe as a model for queueing systems with specific control functions, such as traffic re-routing or traffic destruction, as well as a model for neural networks.
In queueing theory, a discipline within the mathematical theory of probability, a Jackson network (sometimes Jacksonian network) is a class of queueing network where the equilibrium distribution is particularly simple to compute as the network has a product-form solution. It was the first significant development in the theory of networks of queues, and generalising and applying the ideas of the theorem to search for similar product-form solutions in other networks has been the subject of much research, including ideas used in the development of the Internet.
vignette|File d'attente à la gare d'Ottawa. En , discipline basée sur la théorie des probabilités, la notation de Kendall permet de décrire un système de files d'attente à l'aide de six paramètres. Elle porte le nom du mathématicien David George Kendall, qui a introduit cette notation en 1953, avec seulement trois paramètres A/S/c, où A spécifie la durée entre deux arrivées, S la durée du service, c le nombre de guichet. Elle a ensuite été complétée en A/S/c/K/m/Z où K est la capacité totale du système, m est le nombre de clients et Z le type de files.
1 (un) est l'entier naturel représentant une entité seule — définition qui n'est autre qu'une pétition de principe. « Un » fait quelquefois référence à l'unité, et « unitaire » est quelquefois utilisé comme un adjectif dans ce sens (par exemple, un segment de longueur unitaire est un segment de longueur 1). Tous les systèmes de numération possèdent un chiffre pour signifier le nombre un. Un (chiffre) Le chiffre « un », symbolisé « 1 », est le chiffre arabe servant notamment à signifier le nombre un.