La modélisation de la dispersion atmosphérique est une simulation de la dispersion de panaches de pollution dans un contexte et une temporalité donnée, faite à l'aide d'outils mathématiques et de logiciels informatiques et cartographiques. Les modèles cherchent à prendre en compte les conséquences directes et indirectes, dans l'espace et dans le temps des rejets (accidentels ou non) de substances (gaz, particules, aérosols, radionucléides...) indésirables, dangereuses ou toxiques.
vignette|Les détritus de type déchets ménagers sont souvent indicateurs de pollutions (métaux lourds, micro-organismes) posant des problèmes de santé publique, notamment dans les régions où les eaux de surfaces sont utilisées pour la boisson, la lessive, la vaisselle, se laver, faire la cuisine, etc.). vignette|Les pollutions les plus spectaculaires (par des sels de fer ici) ne sont pas toujours les plus toxiques, mais de fortes concentrations d'un produit non réputé toxique (fer, sel par exemple) peuvent faire disparaître la plupart des formes de vie.
Roadway air dispersion modeling is the study of air pollutant transport from a roadway or other linear emitter. Computer models are required to conduct this analysis, because of the complex variables involved, including vehicle emissions, vehicle speed, meteorology, and terrain geometry. Line source dispersion has been studied since at least the 1960s, when the regulatory framework in the United States began requiring quantitative analysis of the air pollution consequences of major roadway and airport projects.
vignette|En 1958, le programme national d'éradication du paludisme des États-Unis a utilisé une approche entièrement nouvelle mettant en œuvre le DDT pour la pulvérisation des moustiques. Le DDT, développé pour la première fois au début de la Seconde Guerre mondiale, était très efficace dans la lutte contre les maladies à transmission vectorielle telles que le paludisme, le typhus, mais a été interdit par l'Environmental Protection Agency en juin 1972, d'utilisation générale aux États-Unis.
La qualité de l'air intérieur (QAI) recouvre l'étude des paramètres de confort (température, hygrométrie) et de la composition de l'air dans les environnements clos (bâtiments, mais aussi dans les transports en commun, par exemple), dans le but d'assurer la santé des usagers. La pollution intérieure est une notion un peu plus restreinte qui désigne classiquement les composés chimiques (hors ) susceptibles d'être présents dans l'air intérieur, ainsi que les fumées et poussières.