Une orbite héliocentrique est une orbite autour du Soleil. Plus précisément, un objet naturel ou manufacturé est dit « en [ou sur une] orbite héliocentrique » si sa trajectoire est, en première approximation, une conique (en général une ellipse) dont un foyer est le Soleil, sans que cet objet tourne autour d'un autre corps plus proche. Le périapside d'une orbite héliocentrique est appelée le périhélie, et son apoapside l'aphélie.
Vénus est la deuxième planète du Système solaire par ordre d'éloignement au Soleil, et la sixième plus grosse aussi bien par la masse que le diamètre. Elle doit son nom à la déesse romaine de l'amour. Vénus orbite autour du Soleil tous les terrestres. Avec une période de rotation de terrestres, il lui faut plus de temps pour tourner autour de son axe que toute autre planète du Système solaire. Comme Uranus, elle possède une rotation rétrograde et tourne dans le sens opposé à celui des autres planètes : le soleil s'y lève à l'ouest et se couche à l'est.
In orbital mechanics, a transfer orbit is an intermediate elliptical orbit that is used to move a spacecraft in an orbital maneuver from one circular, or largely circular, orbit to another. There are several types of transfer orbits, which vary in their energy efficiency and speed of transfer.
Vénus est la déesse de l'amour, de la séduction, de la beauté féminine dans la mythologie romaine. Elle a été assez tôt assimilée à la déesse grecque Aphrodite. À l'origine, Vénus présentait probablement des spécificités, mais après cette assimilation, dont on voit les premières traces au , Vénus devient la déesse de la beauté. Fille de Gaïa et d'Ouranos, elle est la mère d'Hermaphrodite et de Cupidon (dieu de l'amour). Dans les récits fondateurs romains, et notamment l’Énéide de Virgile, elle est la mère du héros troyen Énée.
La colonisation de Vénus, la plus proche planète de la Terre, est une idée qui est à l'origine de plusieurs ouvrages de science-fiction datant de l'époque où les seules caractéristiques connues de Vénus (présence de nuage, taille) pouvaient laisser penser que celle-ci était un lieu en partie favorable à la présence de l'homme. Les sondes spatiales ont permis de découvrir dans les années 1960 un environnement particulièrement hostile : températures très élevées, pression atmosphérique équivalente à celle des profondeurs océaniques, atmosphère dépourvue d'oxygène et de vapeur d'eau mais saturée de dioxyde de carbone et d'acides, absence de champ magnétique protecteur.