N-AcétylgalactosamineLa N-acétylgalactosamine () (ou GalNAc, 2-acétamido-2-désoxy-D-galactopyranose, ''N''-acétyl-D-galactosamine), est un dérivé d'ose, il est plus précisément dérivé du galactose. Chez l'homme, il est le glucide terminal de l'antigène du groupe sanguin A. Il est souvent le premier ose lié à la sérine ou la thréonine d'une protéine lors de la O-glycosylation notamment dans l'appareil de Golgi. Il est nécessaire pour la reconnaissance des cellules entre elles, et est présent en quantité importante dans les nerfs sensoriels des animaux.
Récepteur (biochimie)En biochimie, un récepteur est une protéine de la membrane cellulaire ou du cytoplasme ou du noyau cellulaire qui se lie spécifiquement à un facteur spécifique (un ligand, tels un neurotransmetteur, une hormone, une molécule médicamenteuse, une toxine, un ion calcium, ou une protéine spécifique de la membrane d'un virus...), induisant une réponse cellulaire à ce ligand. Les modifications du comportement du récepteur protéique induites par le ligand conduisent à des modifications physiologiques qui constituent les « effets biologiques » du ligand.
Récepteur NMDAthumb|Représentation schématique d'un récepteur NMDA activé. Le glutamate et la glycine occupent leurs sites de liaison. S'il était occupé, le site allostérique causerait l'inactivation du récepteur. Les récepteurs NMDA requièrent la liaison de deux molécules de glutamate ou d'aspartate et deux de glycine. thumb|Structure de la molécule de NMDA. Les récepteurs NMDA (récepteur au N-méthyl-D-aspartate) sont des récepteurs ionotropes activés dans des conditions physiologiques par le glutamate et la glycine qui sont essentiels à la mémoire et à la plasticité synaptique.
Lymphocyte Bvignette|Une reconstitution en 3D d'un lymphocyte B. On peut voir les prolongements cytoplasmiques qui servent au lymphocyte à se déplacer sur la paroi des vaisseaux sanguins vignette|Un lymphocyte B humain, en microscopie électronique. On peut apercevoir les mitochondries, un noyau très volumineux, et des prolongements cytoplasmiques (sortes de tentacules) qui servent au lymphocytes à se déplacer. Les lymphocytes B, ou cellules B, sont des globules blancs particuliers faisant partie des lymphocytes.
Polype colorectalLe polype colorectal ou polype colique est un polype du côlon et du rectum. Il s'agit d'un terme de description macroscopique qui renvoie à plusieurs types de tumeurs très différentes dans leur physiopathologie et leur pronostic médical. Polype sessile Polype pédiculé Polype adénomateux (Adénome colorectal) Adénome tubuleux Adénome tubulo-villeux Adénome villeux Polypes festonnés (ou Polypes crénelés ou Polypes dentelés) Polype hyperplasique Polype festonné traditionnel Adénome festonné sessile Autres poly
Récepteur Fcdroite|vignette|220x220px|Pour pouvoir agir, les récepteurs doivent se lier en grand nombre aux anticorps ayant opsonisé un agent pathogène. Ce sont ces liaisons en grand nombre qui permettront aux récepteurs d'envoyer des signaux, et de déclencher selon les cas une phagocytose, la libération de cytokines ou tout autre fonction spécifique au couple récepteur/anticorps.
Mésodermevignette|Schéma en coupe transversale juste après la mise en place du mésoderme. vignette|Schéma en coupe transversale juste après la différenciation du mésoderme Le mésoderme (ou mésoblaste), par opposition à l'endoderme et à l'ectoderme, est le feuillet cellulaire intermédiaire de l'embryon des métazoaires triploblastiques qui se met en place au moment de la gastrulation. Seuls les Bilatériens le possèdent, les porifères (éponges) et cnidaires (méduses, coraux, hydres, anémones de mer) en sont dépourvus.
Protéine transmembranaireUne protéine est dite transmembranaire lorsqu’elle traverse au moins une fois entièrement la membrane cellulaire. Il existe donc trois environnements de composition différente en contact avec la protéine : le milieu extracellulaire, les lipides de la membrane, le cytosol. Chacun de ces trois environnements a une influence sur la structure de la protéine. Les acides aminés qui composent la partie transmembranaire sont hydrophobes tandis que les acides aminés qui composent les parties extracellulaire et intracytosolique sont hydrophiles.
Masse molaireLa masse molaire d'une substance est la masse d'une mole de cette substance. Dans le Système international d'unités elle s'exprime en kilogrammes par mole (kg/mol), mais on l'exprime plus couramment en grammes par mole (g/mol, = ) : où : est la masse molaire de la substance (kg/mol ou g/mol) ; est la masse d'une certaine quantité de la substance (kg ou g) ; est la quantité considérée (mol). Les masses molaires du proton et du neutron sont voisines de : respectivement . Celle de l'électron est environ plus faible : .
Feuillet embryonnairevignette|Croquis d'un embryon de poulet, tiré des Contributions à la croissance du poussin dans l’œuf, de Chr.-H. von Pander. Un feuillet embryonnaire est un groupe de cellules produit durant l'embryogenèse des métazoaires. Cette notion a été introduite en 1828 par Chr.-H. von Pander (1794-1865) et K.-E. vo Baer pour expliquer les analogies qu'ils avaient mises en évidence dans le développement pré-natal de différentes espèces animales.