AurophilicityIn chemistry, aurophilicity refers to the tendency of gold complexes to aggregate via formation of weak metallophilic interactions. The main evidence for aurophilicity is from the crystallographic analysis of Au(I) complexes. The aurophilic bond has a length of about 3.0 Å and a strength of about 7–12 kcal/mol, which is comparable to the strength of a hydrogen bond. The effect is greatest for gold as compared with copper or silver—the higher elements in its periodic table group—due to increased relativistic effects.
Heston modelIn finance, the Heston model, named after Steven L. Heston, is a mathematical model that describes the evolution of the volatility of an underlying asset. It is a stochastic volatility model: such a model assumes that the volatility of the asset is not constant, nor even deterministic, but follows a random process. The basic Heston model assumes that St, the price of the asset, is determined by a stochastic process, where , the instantaneous variance, is given by a Feller square-root or CIR process, and are Wiener processes (i.
Nomenclature des composés organiquesLa nomenclature en chimie est l'ensemble des règles, symboles, vocables, destinés à représenter et à prononcer les noms des corps étudiés. L'objectif essentiel d'une nomenclature est d'aboutir à des noms de composés chimiques sans ambiguïté, à savoir qu'un même nom ne doit jamais servir à désigner deux composés chimiques différents. Par contre, un même composé chimique suffisamment complexe peut recevoir plusieurs noms différents provenant de différentes nomenclatures, ou même parfois provenant de la même nomenclature.
Compteur proportionnel à gazUn compteur proportionnel à gaz est un détecteur de particules conçu pour détecter les radiations ionisantes. Il a un très bon rendement pour les photons de « faible énergie », en particulier les rayons X caractéristiques des « éléments légers ». Il s'agit d'un détecteur à ionisation de gaz, comme le compteur Geiger-Müller mais fonctionnant avec une plus basse tension ; ainsi, au lieu d'être en saturation — chaque arrivée de photon ou de particule provoque une étincelle maximum —, on est dans le régime linéaire : l'intensité de l'arc électrique créé est proportionnelle à l'énergie du photon, d'où le nom du détecteur.